Le Nouveau Paradigme

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Commencer à penser par soi même c'est déjà faire partie de la solution


Comment échapper aux produits chimiques dans l'assiette?

Publié par Dav sur 25 Janvier 2012, 18:20pm

Catégories : #Environnement

 

 

Alors que l’on s’inquiète à juste titre de l’impact sanitaire des nombreux produits chimiques introduits dans notre alimentation à divers stades de la production agroalimentaire, on oublie que le simple fait de mélanger et de cuire ses aliments est une façon comme une autre de fabriquer des produits chimiques. Qu’elle soit de haute volée ou de bas étage, délicieuse ou quelconque, maison ou industrielle, bio ou pas, la cuisine aboutit toujours à une cascade de transformations chimiques des aliments. Et ce n’est pas parce que les composés qui sont issus de ces transformations ne sortent pas des usines chimiques qu’ils sont inoffensifs.

 

 earthquake-newso

 

De la chimie dans l’assiette

On sait depuis fort longtemps qu’il se produit des réactions chimiques lors de la cuisson des aliments mais ce n’est que récemment que la science a commencé à s’y intéresser, soit pour rechercher de nouvelles saveurs et composer de nouvelles recettes, soit pour identifier et prévenir les dangers de la cuisson. Passons rapidement sur les premiers, plus préoccupés de flagorneries gastronomiques que de santé publique et attachons nous à ce que nous apprennent les seconds. Des découvertes majeures et inquiétantes sur les composés chimiques induits par la cuisson ont en effet amené les pouvoirs publics, que ce soit en Europe, aux Etats-Unis ou au Canada, à lancer de vastes programmes de recherche. Il en ressort que ces réactions chimiques, communément appelées réactions de Maillard du nom du chimiste qui a été le premier à les étudier au début du 20ème siècle, sont nombreuses et complexes. Ainsi le programme HEATOX, initié par la commission Européenne en 2003, a-t-il permis d’identifier plus de 800 composés chimiques issus de ces réactions.

 

Les furanes

 Parmi ces composés il y a d’abord les furanes dont on connaît la présence dans les aliments cuits depuis les années 70. Leurs mécanismes de formation n’ont été élucidés que récemment. Une étude publiée dans l'édition d'octobre 2004 du Journal of Agricultural and Food Chemistry démontre comment les aminoacides et les sucres alimentaires se décomposent et se transforment en furanes lorsqu'ils sont chauffés. D'autres composants alimentaires, tels que la vitamine C et les acides gras polyinsaturés, sont aussi susceptibles de produire des furanes, sous-produits non désirés résultant de la cuisson, de l'embouteillage ou de la mise en conserve de produits alimentaires. Aromatiques et volatiles les furanes sont des éléments significatifs du goût et de l’odeur du café, du chocolat, et de nombreux plats cuisinés
Les furanes sont des toxiques pour l’organisme. Ils provoquent des maladies de la peau comme la chloracnée, des troubles hépatiques, un affaiblissement du système immunitaire, de l’appareil endocrinien et des fonctions de reproduction. On leur attribue aussi des effets sur le développement du système nerveux ainsi que certains cancers.

 

L’acrylamide

 Il y a ensuite l’acrylamide dont la présence a été signalée en 2002. Il se trouve que l’acrylamide est un composé chimique produit industriellement et utilisé pour la fabrication des plastiques, des cosmétiques et pour le traitement des eaux. Il est considéré comme un toxique dangereux (mutagène, génotoxique et cancérogène). Sa présence dans les aliments cuits est liée à des recombinaisons chimiques de protéines et de glucide, notamment l’asparagine, à haute température. Les concentrations d’acrylamide observées dans de nombreux aliments de consommation courante, tels que le pain, les biscottes, les biscuits, les frites, les chips, le café, sont préoccupantes puisqu’elles sont de l’ordre de 100 à 1000 fois supérieures à celles admises pour son usage dans l’industrie. C’est la découverte fortuite de ce composé par une équipe suédoise qui a déclenché la décision de lancer le programme HEATOX en 2003.

 

Les A.G.E

 Il y a aussi les A.G.E dont les effets néfastes sur l’organisme ne sont connus que depuis le début des années 2000. Ils regroupent toute une gamme de molécules issues de réactions chimiques entre les glucides et les protéines lors de la cuisson. Etant donné que la plupart des aliments contiennent des glucides et des protéines, les A.G.E sont présents dans presque tous les plats cuisinés, et en quantités souvent considérables. Les réactions chimiques entre glucides et protéines sont complexes. A basse température, c’est-à-dire jusqu'à une température équivalente à celle du corps, elles sont partielles et les composés de glycation obtenus peuvent être démontés par la cellule lorsqu’ils y pénètrent. Aux températures habituelles de cuisson en revanche, ces réactions forment des molécules indémontables qui s’accumulent dans la cellule et en perturbent le fonctionnement jusqu’à l’étouffer. On parle alors de produits terminaux de glycation (P.T.G) ou, dans la langue de Shakespeare, « Advanced Glycation End-product » d’où leur nom. Les AGE s’accumulent aussi dans les espaces intercellulaires perturbant ainsi les échanges entre cellules. Transportés par les vaisseaux sanguins, ils se soudent ensemble du fait de leur forte réactivité selon un processus connu sous le nom de liaisons croisées. Au fur et à mesure que les protéines glyquées tissent des liens croisés, les tissus de l’organisme deviennent de plus en plus raides et durs. La glycation endommage des organes comme le cœur, les yeux ou la peau qui ont besoin de flexibilité pour fonctionner de façon optimale. Elle est maintenant reconnue comme étant l’un des principaux facteurs du développement de nombreuses maladies du vieillissement incluant l’athérosclérose, l’insuffisance cardiaque, la maladie d’Alzheimer, les complications du diabète, la formation de la cataracte ou le vieillissement cutané prématuré.

 

Et ceux qu’on ne connaît pas encore

 La cuisson et ses conséquences sur la santé sont un vaste sujet d’étude scientifique que la première phase du programme HEATOX (2003-2008) n’a fait que déflorer. La deuxième phase (2008-2013) va défricher de nouvelles zones d’ombre, identifier d’autres classes de molécules, évaluer les impacts sanitaires de la cinquantaine de molécules identifiées lors de la première phase que l’on suspecte d’être toxiques d’après leur structure moléculaire.

 

Une réalité incontournable

 La cuisson présente donc de nombreux inconvénients difficilement évitables. Chaque fois que ses effets malencontreux ont été découverts, l’ingéniosité des chimistes et des biologistes a été mise à contribution pour rechercher des solutions de contournement : médicaments ou compléments alimentaires anti-A.G.E, blanchiment des pommes de terre, friture sous vide, optimisation du rapport huile/pomme de terre dans des friteuses, durée accrue de fermentation de la levure et modification des conditions de cuisson pour le pain, additifs exhausteur de goût pour compenser les effets de la baisse des températures de cuisson, enzymes génétiquement modifiés ajoutées à certaines préparations, etc. Mais aucune de ces solutions ne permet de résoudre efficacement ne serait-ce qu’un seul des inconvénients précités.

 

Manger cuit nuit à votre santé

 La cuisson induit des désordres dont nous commençons juste à entrevoir la portée sanitaire à moyen et long terme. Comme pour le tabac, l’intoxication n’est pas immédiatement létale et ne provoque qu’épisodiquement des malaises mais les conséquences se font progressivement sentir avec l’âge : Courbatures, fatigues physiques, insomnies, mal au dos, maux de ventre, digestions difficiles, prise de poids progressive, masses adipeuses sur le ventre, les hanches, les fesses, les cuisses, tâches brunâtres et perte de souplesse de la peau, affaissement du ventre et des seins, infections à la moindre blessure, etc., jusqu’à l’apparition de pathologies lourdes : maladies cardio-vasculaires, obésité, diabète, cancer, embolie pulmonaires, etc. Ces pathologies graves, souvent invalidantes, sources de multiples souffrances sont devenues si fréquentes qu’elles concernent aujourd’hui en France plus 8 millions de personnes, (chiffre 2009, 12 millions à l’horizon 2015 selon une estimation de la CNAM) et mobilise près de la moitié des dépenses de la sécurité sociale. Sans le système de santé performant mais très onéreux dont nous disposons aujourd’hui, la situation serait catastrophique, à peine plus enviable que celle de nos grands parents lorsqu’au 19ème siècle la moitié d’une génération d’enfants mourrait avant l’age de dix ans.

 

Manger cru préserve santé et vitalité

En contrepoint de cette réalité, de nombreuses études montrent les multiples effets protecteurs, réparateurs ou équilibrants des aliments lorsqu’ils sont consommés crus. Effets qu’on ne retrouve généralement pas lorsque ces mêmes aliments sont cuits ou que leurs principes actifs sont concentrés sous forme de compléments alimentaires. Par exemple, si l’ananas fait maigrir ce n’est pas le cas des gélules à base d’extrait d’ananas pourtant présentées comme amaigrissantes. De même si les antioxydants des fruits sont souverains contre le cancer, ces mêmes antioxydants pris en comprimés se révèlent néfastes parce qu’ils contrarient les traitements anti-cancéreux.
Après avoir épluché 10 000 études scientifiques sur la nutrition, l’OMS en est venu à la conclusion que les fruits et des légumes en crudité sont indispensables pour une alimentation équilibrée. Ces aliments améliorent significativement tous les indicateurs de santé. C’est la raison pour laquelle toutes les recommandations officielles se sont alignées sur les préconisations de l’OMS et insistent désormais sur l’importance des crudités et des fruits pour équilibrer son alimentation.

 

Cuire et transformer : une habitude récente

Il en est de la cuisson et de la transformation des aliments comme de l’électricité ou l’eau courante, elles n’ont pas toujours existé. Même s’il semble avéré que la maîtrise du feu remonte à environ 400.000 ans, la cuisson des aliments ne commence réellement qu’au néolithique supérieur, soit environ 10.000 ans avant JC. Et encore, seulement pour quelques peuples du Proche-Orient. Il faudra attendre 5000 ans avant JC pour qu’elle se généralise à toute l’Europe. Et dans de nombreuses autres régions du monde, Amériques, Caraïbes, Grand Nord Canadien, Indonésie, Australie, etc., de telles pratiques étaient encore inconnues il y a quelques siècles. Depuis que les humains modernes existent sur cette planète, soit depuis près de 7 millions d’années, plus de 99% d’entre eux ont mangé cru toute leur vie durant. Ce n’est qu’à partir du néolithique que l’on observe sur les squelettes humains des traces laissées par diverses pathologies dont certaines directement liées à l’alimentation comme par exemple les caries dentaires, dues aux sucres des céréales panifiées. Ce changement de mode de vie et d’alimentation a favorisé l’émergence de nombreuses maladies épidémiques qui ont dramatiquement marquées l’Histoire : la tuberculose, transmise par le bétail 7000 ans avant JC, la variole transmise par le chameau 2000 ans avant JC, la lèpre dont le plus ancien fossile, vieux de 4000 ans, atteint de cette maladie a été découvert en Inde en 2009, mais aussi le choléra, la peste, la vérole apparus plus récemment.
Le fait que les fossiles soient moins nombreux au fur et à mesure que l’on remonte dans le temps ne suffit pas à expliquer la raréfaction des traces de pathologies pour les périodes antérieures au néolithique. Les dentitions se conservent très bien et ce n’est qu’à partir du néolithique qu’on en retrouve des proportions significativement plus importantes en mauvais état. Les travaux du dentiste américain Weston A. Price, qui a étudié la formation des dents et des os des sociétés primitives dans les années 1920-1940 et comparé leurs habitudes alimentaires ont confirmé l’existence d’un lien entre l’alimentation et la santé bucco-dentaire.

 

Faut-il abandonner la cuisson ?

La cuisson des aliments est peut-être une spécificité humaine, cela ne signifie pas qu’elle soit dépourvue d’inconvénients. La guerre est aussi une spécificité humaine, tout aussi regrettable. Que la cuisson soit élevée par certains au rang de patrimoine culturel ou de fondement de la civilisation ne change rien aux réalités biologiques. La cuisson est tout aussi nocive à long terme que peuvent l’être le tabac ou l’alcool. Faut-il l’abandonner ? Ce serait dommage d’attendre d’y être contraint pour des raisons médicales, d’autant plus qu’une alimentation crue procure des satisfactions qui valent largement celles des mets préparés les plus délicats. Mais même sans aller jusqu'à une alimentation intégralement crue, on peut facilement tirer de grands bénéfices d’un retour à une alimentation plus conforme à notre physiologie en modifiant quelques mauvaises habitudes.

 

Notre poison quotidien

Prévention du cancer : une protection spécifique à certains fruits et légumes

Fruit and Vegetable Intake and Overall Cancer Risk in the European Prospective Investigation Into Cancer and Nutrition (EPIC)

La cuisine moléculaire en question

L'acrylamide dans l'alimentation, un problème de santé publique

Recherche Européenne : Le programme HEATOX

Source image : http://www.ledauphine.com

 

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L
<br /> Cachée dans votre cuisine, une épice anti-Alzheimer !<br /> <br /> <br /> Les lecteurs réguliers de Santé Nature Innovation savent que la cannelle est excellente contre le diabète. (1) Mais des chercheurs viennent de s'apercevoir qu'elle pourrait aussi<br /> ralentir l'apparition de la maladie d'Alzheimer.<br /> <br /> Le mécanisme est remarquable : les personnes malades d'Alzheimer ont des amas caractéristiques de protéines Tau dans le cerveau. Ne cherchez pas à comprendre ce que sont précisément les<br /> protéines Tau : après 10 ans d'études, la plupart des médecins eux-mêmes n'en ont aucune idée. Retenez seulement :<br /> <br /> <br /> <br /> Boules de protéines Tau dans le cerveau = maladie d'Alzheimer (en général).<br /> <br /> <br /> <br /> Or, la cannelle contient de l'aldéhyde cinnamique (de cinnamon, qui veut dire cannelle en anglais et en latin). L'aldéhyde cinnamique empêche les protéines Tau de s'agréger<br /> entre elles et de former des boules dans le cerveau, en les protégeant du stress oxydatif.<br /> <br /> Mais ce n'est pas tout : la cannelle contient aussi de l'épicatéchine, un composé qui empêcherait aussi les protéines Tau de s'agréger. L’épicatéchine est un anti-oxydant que l'on<br /> trouve également dans le thé vert, le chocolat, le vin rouge et la myrtille.<br /> <br /> Une étude publiée dans le Journal of Alzheimer's Disease (revue médicale sur la maladie d'Alzheimer) a donc récemment conclu que la cannelle pourrait ralentir l’apparition de la maladie d’Alzheimer. (2)<br /> <br /> <br /> <br /> Faut-il vous bourrer de cannelle ?<br /> <br /> <br /> J'ai bien écrit « pourrait ralentir », car cette étude a été menée in vitro (en éprouvette). Or, dans la pratique, in vivo, il y a un gros problème avec toutes les<br /> substances censées agir sur le cerveau : pour qu’elles soient efficaces, elles doivent franchir la barrière hémato-encéphalique (BHE) qui empêche la plupart des substances de passer du sang vers<br /> le cerveau, afin de le protéger des produits toxiques.<br /> <br /> Les dernières recherches laissent penser qu’un peu des substances actives de la cannelle passent bien la BHE. Mais ce n’est probablement pas suffisant pour être vraiment efficace.<br /> <br /> <br /> <br /> Ce que je propose aux chercheurs<br /> <br /> <br /> Il pourrait toutefois exister une solution à ce problème : administrer de l’huile essentielle de Cannelle par spray nasal, sous forme très diluée bien sûr pour éviter les brûlures.<br /> <br /> Cela permettrait d’éviter le problème de l’absorption intestinale et de passer plus facilement la BHE. A ma connaissance, ce produit n'existe pas encore, même dans les boutiques spécialisées sur<br /> Internet.<br /> <br /> <br /> <br /> Ne pas confondre cannelle et cannelle<br /> <br /> <br /> La cannelle est l'écorce intérieure du cannelier. Elle s'utilise en général moulue, ou en infusion.<br /> Mais il existe deux sortes de canneliers : le cannelier de Ceylan, et celui de Chine. La cannelle de Ceylan (Cinnamomum zeylanicum) est à la fois de meilleure qualité et plus chère que la cannelle de Chine (Cinnamomum<br /> cassia). C'est donc en général de la cannelle chinoise, qui est brune, que vous trouvez dans le commerce. Mais essayez d'acheter plutôt de la cannelle de Ceylan qui est jaune.<br /> La cannelle jaune de Ceylan contient en effet moins de coumarines, des composés qui fluidifient le sang, et qui peuvent donc provoquer des risques d'hémorragie chez les personnes qui prennent des<br /> anticoagulants ou qui ont des problèmes de coagulation sanguine. Vous pouvez donc en consommer plus, sans risque, que la cannelle de Chine.<br /> <br /> La cannelle est le type même de l'épice qu'on achète, qu'on stocke dans ses placards... et qu'on oublie pendant des années. C'est dommage car, non seulement elle est délicieuse et s'accommode<br /> avec la plupart des plats, mais surtout, elle perd rapidement ses propriétés (et son goût). Il faut donc la conserver dans un récipient hermétique, dans l'obscurité... et la consommer sans<br /> tarder. Je vais vous y aider :<br /> <br /> <br /> <br /> Bonnes recettes à la cannelle<br /> <br /> <br /> - La cannelle rehausse les compotes de poire, de pomme ou de prune. Voici en outre une excellente recette de compote de fruits<br /> secs : cuire quinze minutes à feu doux des pruneaux, des dattes et des abricots secs dans du thé aromatisé à la cannelle et au zeste d’orange. Enlever du feu, garnir de pignons et<br /> laisser refroidir.<br /> <br /> - Les légumes légèrement sucrés tels que la patate douce et la courge s’accommodent bien d’un peu de cannelle.<br /> <br /> - Vous pouvez faire une délicieuse soupe méditerranéenne en mettant des dés de poulet dans du bouillon. Ajoutez des pois chiches, un oignon, deux tomates et de petites pâtes. Assaisonnez de<br /> cumin, de cannelle, de sel, de poivre et de persil.<br /> <br /> - De nombreuses sauces sont améliorées par la cannelle : sauces à spaghetti, chili con carne, ragoûts.<br /> <br />  - Le plat salé le plus délicat à la cannelle reste néanmoins la pastilla marocaine :<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Faites mariner plusieurs heures des morceaux de viande de pigeon dans un mélange de ras-el-hanout, de cannelle, de safran et de fines herbes fraîches (persil, coriandre) mouillé de bouillon ou<br /> d'eau. Faites cuire une heure ce mélange.<br /> <br /> Sur plusieurs couches de pâtes de brick (ou de pâte philo), disposez des oignons revenus dans l'huile, des amandes revenues dans l'huile, égouttées puis hachées et assaisonnées de cannelle.<br /> <br /> Ajoutez dessus des œufs durs hachés et les morceaux de pigeon.<br /> <br /> Recouvrez d'une couche de brick arrosée de beurre et d'eau de fleur d'oranger.<br /> <br /> Faites cuire la tourte environ une demi-heure, puis saupoudrez-là de sucre glace et de cannelle, si possible en dessinant des croisillons (ce qui suppose d'utiliser un pochoir).<br /> <br /> <br /> <br /> Vous consommerez de la cannelle, sans vous en douter, dans la plupart des plats orientaux qui contiennent des mélanges d'épices : ras-el-hanout maghrébin, garam masala indien, baharat du<br /> golfe persique, gâlat dagga tunisien, cinq-parfums chinois.<br /> <br /> Enfin, vous pouvez ajouter de la cannelle dans de nombreuses boissons : chocolat chaud, thé (en faisant infuser un bâton), vin chaud.<br /> <br /> A votre santé !<br /> <br /> Jean-Marc Dupuis<br /> <br /> <br />  <br />
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<br /> http://www.bio-sport.fr/le-charbon-vegetal-desintoxication-de-lorganisme/<br />
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<br /> http://www.greenpeace.org/france/fr/campagnes/Toxique/Toxic-Threads/Zara/?utm_source=lancementdetox&utm_medium=email&utm_term=detox&utm_campaign=Lancementdetox20112012<br />
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<br /> http://www.wikistrike.com/article-risques-des-produits-chimiques-pour-la-sante-111361232.html<br />
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<br /> http://spread-the-truth777.blogspot.fr/2012/09/comment-faire-son-dentifrice-sans-fluor.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed:+blogspot/vRGh+(SPREAD+THE+TRUTH)<br />
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L
<br /> Additifs alimentaires, OGM, fermez les yeux, ouvrez la bouche<br /> <br /> <br /> 1<br /> <br /> <br /> by globalpresseDocumentaire<br /> •<br /> <br /> <br /> <br /> L’aluminium<br /> est un élément qui n’existe pas dans notre corps. ». C’est ce qu’affirme Docteur Pierre Souvet, médecin et président de Santé et environnement de France , réseau de 2500 médecins Français. Ce<br /> réseau tente désespérément d’alerter les citoyens sur le danger avéré de l’aluminium (neurotoxique, il multiplierait par 2 les risques d’alzheimer) dans l’alimentation, les cosmétiques, les<br /> emballages alimentaires.  <br /> <br /> <br /> Cet additif s’ajoute au 350 (en France, 800 en Europe) déjà présent dans notre consommation quotidienne, nous les reconnaissons sur les étiquettes sous forme de E 101 par exemple ou sous leur<br /> nom scientifique.<br /> <br /> <br /> Si certain sont naturel, comme le sel de mer qui est un exhausteur du goût, d’autres ne sont là que pour « faire joli », exemple des colorants, sorte de rimmel des denrées, les régulateurs de<br /> Ph permettant de rendre mangeable se qui ferait vomir un bouc, les conservateurs qui permettent à un aliment ou un plat de garder son apparence fraîche et son goût d’antan durant un laps de<br /> temps relativement long, les épaississants, agents de textures, qui donne un aspect soyeux en bouche, et qui fait dire MMmm plutôt que BERK à nos enfants. Bref, que du naturel et sans danger<br /> pour l’organisme nous assure les scientifiques de la gastronomie, nous voilà rassurés.<br /> <br /> <br /> Sauf que, En juin 2010, l’Association Santé Environnement France a lancé en collaboration avec France 3, une étude11 sur l’alimentation. Pendant 15 jours, les urines d’une personne passée au<br /> “bio” et une autre au “discount”, ont été analysées. Lors de cette étude, une modification a été notée chez le sujet étant au “discount”, celle de l’acide hippurique – multiplié par 4 par<br /> rapport à la teneur initiale. La présence de cet acide est liée à l’absorption de conservateurs alimentaires (E210 à E219 – famille des benzoates). Ces benzoates peuvent provoquer des réactions<br /> d’intolérance et sont régulièrement mis en cause dans les atteintes du développement neurologique de l’enfant (hyperactivité ou troubles de l’attention).<br /> <br /> <br /> En ce qui concerne l’aluminium, Il est fabriqué à Gardanne prés d’Aix en Provence dont la matière première, la bauxite (rouge), est importé d’Afrique. L’alumine (poudre blanche) ainsi obtenue<br /> après transformation, fait à l’heure actuelle, le bonheur de l’industrie chimique qui le traite selon demande. La nourriture, les cosmétiques, les médicaments, les vaccins (tous les vaccins).<br /> Il y en a même dans les laits infantiles. Si vous voulez connaître la position de l’Union Européenne concernant la mise sur le marché de telles substances ainsi que les OGMs, vous pouvez<br /> consulter le site de la commission européenne qui a validé le codex alimentarius (codex alimentaire) sur le site suivant :<br /> <br /> <br /> http://ec.europa.eu/food/food/chemi…<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Source: Agoravox<br /> <br />
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<br /> Gare aux barquettes alimenteuses !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Les barquettes en plastique peuvent-elles contaminer les aliments qu'elles contiennent quand<br /> elles passent au four micro-ondes ? Les autorités sanitaires françaises n'ont, pour l'instant, pris aucune mesure concernant ces récipients utilisés par toutes sortes de commerçants, du<br /> charcutier au traiteur chinois. Mais deux des composants chimiques de ces boîtes transparentes les inquiètent : les phtalates et le bisphénol A (BPA). <br /> <br /> Selon les scientifiques, ces charmantes molécules présentent un risque avéré pour la fertilité et la reproduction. Leur caractère cancérigène est plus discuté. Mais une récente étude de la revue<br /> américaine Proceedings of the National Academy of Sciences conclut - à partir d'expériences sur des rats et des macaques - que le BPA augmente les risques « d'incidence » du cancer du sein.<br /> Risques transmissibles aux nouveaux nés...<br /> <br /> Or, ces saloperies exposées aux micro-ondes, peuvent « migrer » vers les aliments présents dans les barquettes. À des doses excessives ? Toxico-chimiste reconnu, le professeur André Picot avoue<br /> qu'il n'enfourne jamais que du verre dans son four à micro-ondes. Et encore, « seulement pour réchauffer le café » ! Dans un rapport sur le BPA du 9 novembre, l'Académie de médecine (française)<br /> demande l'interdiction - mais seulement dans les cuisines des collectivités - de « réchauffer les aliments au micro-ondes directement dans les emballages plastique ».<br /> <br /> Gage, en principe, de sécurité pour les consommateurs, le logo « plastique alimentaire » (avec une fourchette et un verre) qui figure sur les récipients ad hoc n'est pas une<br /> garantie. Parce que les tests de température sont réalisés dans des fours normaux. Plus sûre serait « la suspension de la fabrication, de l'importation, de l'exportation et de la mise<br /> sur le marché de tout conditionnement à vocation alimentaire contenant du bisphénol A ».<br /> <br /> C'est précisément l'intitulé d'un projet de loi voté en octobre par l'Assemblée. Hélas, le Sénat, tout à sa nouvelle organisation, n'a pas encore trouvé le temps (ou la volonté ?) de l'adopter.<br /> Voilà pourtant une belle occasion de prouver que le lobby pétrolier, qui coiffe celui des plasturgistes, ne les impressionne pas.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Source: Le Canard (dit coin-coin) enchainé<br />
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<br /> http://www.wikistrike.com/article-les-alimenteurs-comment-l-agro-industrie-paye-pour-nous-faire-grossir-107415071.html<br />
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<br /> http://artdevivresain.over-blog.com/article-apres-notre-pain-quotidien-107230524.html<br />
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<br /> Aliments irradiés : le grand secret……….<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Nous avons déjà parlé du Codex Alimentarius, cette « bible » écrite pour le plus grand bénéfice de l’industrie agro-alimentaire, et qui propose toujours plus de « chimique », de<br /> l’aseptisé, du sans gout et j’en passe et des meilleures, ceci avec la complicité des instances technocratiques de Bruxelle. Pourtant très peu ont pris la peine de s’informer sur ce Codex qui<br /> se propose ni plus ni moins de nous « enchimiquer » encore plus, de nous trafiquer les aliments, de les atomiser et comme ils n’auront plus aucun bénéfice alimentaire, la dernière étape sera<br /> le toubib….Ces produits, nous en consommons tous les jours..Comme ce n’est pas suffisant, ils vont continuer à nous « ioniser » par aliments interposés, c’est très peu connu, je ne l’ai vu<br /> noté qu’une seule fois sur une boite de café soluble il y a des années, ce qui veut dire que cette pratique n’est pas nouvelle; elle est soigneusement dissimulée car, des « mal-pensants »<br /> pourraient y associer Tchernobyl ou Fukuchima……QUOI! j’exagère?? ….peut être , mais si peu, que ça devient le parcours du combattant et à très haut risque que de vouloir simplement se<br /> nourrir. Pour ceux qui savent déjà, ça n’est pas évident de faire le tri, pour les autres……<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Si un aliment irradié n’a plus de vie, à quoi peut-il servir ? La ionisation alimentaire<br /> est une escroquerie scientifique, un remède préventif pire que le mal …<br /> <br /> <br /> > Coluche.<br /> <br /> <br /> Irradiation, ionisation, c’est quoi ?<br /> <br /> <br /> Irradier, veut dire soumettre à un rayonnement radioactif de type bêta (provenant de particules), ou de type gamma (cobalt 60) l’autre terme (plus discret) est l’ionisation.<br /> <br /> <br /> L’irradiation au cobalt 60, émet des rayons gamma qui irradient alors, à quarante kilograys (KGy), des palettes entières d’aliments convoyés en boucle sur tapis roulants.<br /> <br /> <br /> L’irradiation au césium 137, parce qu’il n’a pas besoin d’un couvercle d’eau, est d’un usage beaucoup plus pratique. Intégré dans une mini-centrale nucléaire mobile, il est transporté en<br /> camion, d’une usine à l’autre, au gré des contrats, en revanche il est beaucoup plus instable.<br /> <br /> <br /> A quoi sert l’irradiation ?<br /> <br /> <br /> L’irradiation est utilisée pour retarder le mûrissement des fruits, pour empêcher les légumes de germer, pour tuer des bactéries responsables du pourrissement ou pour se débarrasser<br /> d’insectes sur les aliments. Il y a actuellement une forte pression internationale de la part de l’industrie de l’irradiation et d’ autres organisations (comme l’OMS !) pour généraliser son<br /> l’utilisation.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Qui utilise l’irradiation ?<br /> <br /> <br /> Actuellement, cinq pays de l’Union européenne autorisent l’irradiation ou (ionisation) d’autres aliments : la Belgique (8), la France (16), la Hollande (8), l’Italie (3) et le Royaume-Unis<br /> (10).<br /> <br /> <br /> Pour voir la liste des aliments concernés : Ionisés : la liste secrète !<br /> <br /> <br /> Jusqu’à présent, la pression de l’opinion publique a été forte pour s’opposer à l’ionisation des aliments. Ainsi, selon les organisations de consommateurs, cette technologie n’offre pas de<br /> réels bénéfices aux consommateurs, ce serait même plutôt le contraire et pourrait tromper ceux-ci sur la fraîcheur réelle des produits !<br /> <br /> <br /> Les dangers liés à > des aliments<br /> <br /> <br /> L’irradiation des aliments dégrade la qualité de ceux-ci notamment en détruisant les vitamines qu’ils contiennent et en faisant apparaître de nouveaux composés chimique dont certains sont<br /> cancérigènes. Malheureusement, voici une raison de plus pour manger naturel (Bio).<br /> <br /> <br /> Ainsi l’ionisation peut détruire jusqu’à 80% de la vitamine A des œufs et 48% du Béta carotène du jus d’ orange ! De plus l’ionisation des aliments peut faire apparaître dans ceux-ci des<br /> composés appelés cyclobutanones, qui sont des promoteurs du développement de cancers et causent des dommages génétiques chez le rat.<br /> <br /> <br /> Chez l’homme on sait qu’il créent des dommages aux cellules et au gènes (cytotoxicité et géno-toxicité). D’autres composés tels les radicaux libres ou le benzène, le toluène … apparaissent<br /> lors de l’ionisation d’aliments (ces composés sont connus pour favoriser l’apparition de cancers, maladies cardio-vasculaires, …).<br /> <br /> <br /> Une riche littérature scientifique illustre ces dangers. Pourtant la Commission européenne ou l’OMS (organisation mondiale de la santé) refusent toujours de prendre en compte ces dangers<br /> mis en évidence par ces études scientifiques. Pourquoi ?<br /> <br /> <br /> La commission européenne refuse les conclusions d’une étude officielle européenne qui montre les dangers potentiels des aliments ionisés !<br /> <br /> <br /> Une étude réalisée en 2002, par une équipe de chercheurs franco-allemands dans le cadre d’un programme de recherche interrégional de l’Union européenne a montré que certains cyclobutanones<br /> (les 2 alkylcyclobutanones) sont cytotoxiques, génotoxiques et sont des promoteurs du cancer du colon chez le rat.<br /> <br /> <br /> Le comité scientifique de la nourriture (SCF : du service santé et protection du consommateur de la Commission européenne) a refusé ces conclusions alors que l’équipe de chercheurs qui a<br /> réalisé cette étude compte parmi les meilleurs spécialistes mondiaux !<br /> <br /> <br /> Les chercheurs n’ont d’ailleurs pas tardé à réagir pour maintenir leurs conclusions.<br /> <br /> <br /> Conclusion : l’irradiation ne se contente pas d’exterminer les germes indésirables, par la même occasion ils détruisent instantanément toutes les vitamines, les antioxydants, les enzymes,<br /> les acides gras, et dans le cas des viandes rouges, certains composants naturellement présents dans les fibres deviennent cancérigènes.<br /> <br /> <br /> (…)<br /> <br /> <br /> ><br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Pourquoi > à tout prix ?<br /> <br /> <br /> Pour masquer de mauvaises pratiques en matière d’hygiène et ne pas inciter à accroître la propreté dans ce domaine<br /> <br /> <br /> L’OMC (Organisation mondiale du commerce), presse l’Union européenne d’assouplir sa législation sur l’ionisation des aliments : elle y voit là un moyen d’accroître encore un peu plus la<br /> mondialisation des échanges commerciaux de nourriture au détriment des systèmes de production locaux durables et de petite taille, destabilisant encore davantage les marchés en<br /> concurrencant les productions locales avec des productions d’aliments en provenance des pays en voie de développement où les coûts de production sont très bas.<br /> <br /> <br /> Ces produits dénutris et sans fraîcheur pourront ensuite être revendus sur nos marchés !<br /> <br /> <br /> Etiquetage absent ! pourquoi ?<br /> <br /> <br /> (…)<br /> <br /> <br /> Travailleurs et sécurité globale en danger<br /> <br /> <br /> L’utilisation de l’ionisation des aliments n’est pas sans danger pour les travailleurs de ce secteur. De très nombreuses contaminations radioactives ont déjà eu lieu aux USA, en Italie, en<br /> Norvège, en Australie, …<br /> <br /> <br /> De plus les sources de radioactivité sont très convoitées par des réseaux organisés afin d’être revendue sur le marché noir (chaque année, dans le monde se sont plus de 200 sources de<br /> radioactivités qui sont volées ! ).<br /> <br /> <br /> Attention au terrorisme !<br /> Pour lire l’article dans sa totalité,<br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> Vos récipients de cuisine sont-ils en train de vous tuer ?<br /> <br /> <br /> <br /> (NaturalNews) Notre santé est grandement influencée par la nourriture que nous mangeons et la façon dont nous la cuisons. La densité en nutriments peut être facilement endommagée par la sur<br /> cuisson de nos aliments mélangés à des produits chimiques et à des métaux lourds qui s’infiltrent dans nos récipients. Les métaux lourds provenant des articles culinaires modifient les goûts et<br /> les enzymes et finalement se retrouvent dans le corps. Vous pouvez acheter les meilleurs aliments biologiques et par inadvertance les transformer en poison en les cuisinant mal.<br /> <br /> <br /> Certains ustensiles de cuisine sont mieux que d'autres, et certains sont tout simplement toxiques.<br /> <br /> <br /> Les récipients en téflon sont probablement les pires de tous. Johns Hopkins Medical Center, dit que l'APFO chimique utilisé dans la fabrication du téflon, se trouve maintenant dans la<br /> circulation sanguine de presque tout le monde aux États-Unis. Les premières études suggèrent que les niveaux élevés d'APFO dans le sang humain sont liés au cancer, au taux élevé de cholestérol,<br /> aux maladies de la thyroïde et à la réduction de la fertilité. Les surfaces en téflon se brisent et finissent dans votre nourriture et lorsqu'il est chauffé à des températures élevées, il émet<br /> des vapeurs qui causent des symptômes ressemblant à la grippe chez les humains (AKA : fièvre de polymère) et peuvent être mortelles pour les oiseaux. Les fabricants doivent d'éliminer l'APFO de<br /> tous les produits de cuisson ici l'an 2015.<br /> <br /> <br /> Les récipients en aluminium sont à utiliser le plus couramment, mais peuvent être très toxiques lorsque ce métal lourd est absorbé par tous les aliments. L'aluminium libéré dans les aliments<br /> pendant la cuisson se retrouve dans votre corps. Un excès en aluminium a été associé aux cancers hormonaux et à la Maladie d'Alzheimer.<br /> <br />
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L
<br /> http://spread-the-truth777.blogspot.fr/2012/04/acrylamide-un-poison-cancerigene-dans.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed:+blogspot/vRGh+(SPREAD+THE+TRUTH)<br />
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L
<br /> http://www.secret-realite.net/index.php?mod=articles&ac=commentaires&id=1323<br /> <br /> <br /> Avec ça on est mal barrés.....vigilance est un mot de survie !!  <br /> <br /> <br /> Extinction humaine PROGRAMEE !<br />
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L
<br /> http://fr.mg40.mail.yahoo.com/neo/launch?.rand=7a4tp90ehfhu8<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />                                             <br /> <br />
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L
<br /> http://www.inexplique-endebat.com/article-chemtrails-epandage-dans-le-ciel-crimes-aerosols-98531254.html<br /> <br /> <br /> Comment échapper aux produits chimiques du ciel ?   <br />
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