Plus ça va, plus l’évidence s’impose : depuis le début de la crise sanitaire dite du covid-19, Didier Raoult avait raison sur toute la ligne. Les salauds, aidés par les idiots à l’insu de leur plein gré, dressaient un barrage inutile de bien-pensance pseudo-scientifique, sous influence Big Pharma.
Je me rappelle Irène Frachon, en 2010, luttant contre le Mediator, cette sinistre saloperie générée par le sinistre labo Servier et défendue mordicus par les autorités de tout poil jusqu’à ce que l’évidence prenne le dessus. Les torrents de boue qu’elle a dû alors essuyer, Irène, de la part des salauds relayés par les idiots. Mais de guerre lasse, rincée, épuisée, elle finit par obtenir gain de cause. Pareil pour Raoult.
À la fin, heureusement, ce sont toujours les justes qui finissent par gagner. Mais sauf accident historique (une révolution), les salauds ne sont jamais suffisamment punis comme ils le devraient. Et les idiots n’ont plus qu’à regarder le bout de leur godasses en déplorant leurs morts, bien plus victimes des salauds que des virus.
Ci-après, le dernier point hebdo de Didier Raoult, auteur d’un livre au titre bien nommé, Les Carnets de guerre (éditions Michel Lafon), charge implacable contre les salauds et les idiots.