Il vont envoyer un projectile en juillet 2021, pour un impact prévu en octobre 2022.
«Les dinosaures ont disparu parce qu’ils n’avaient pas de programme spatial. » Cette boutade, souvent attribuée par erreur à Arthur C. Clarke (alors qu’il citait lui-même un autre auteur de science-fiction, Larry Niven, dans une interview au New York Times en 1999), est devenue un classique lorsque l’on évoque le risque d’un impact météoritique de grande ampleur avec la Terre. On oublie souvent qu’elle se poursuivait par les mots suivants: «Et si nous disparaissons parce que nous n’avons pas de programme spatial, nous l’aurons bien cherché.»