Le Nouveau Paradigme

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Des gens envoyés en dialyse à cause d’une vaccination!

Publié par Dav sur 29 Décembre 2012, 23:56pm

Catégories : #Santé

dialyse

C’est pendant des années que j’ai pu observer l’administration de ces vaccins expérimentaux à des patients souffrant de maladies rénales, alors qu’on leur avait dit que ce vaccin (antigrippal donc) était efficace et sans danger. Je possède de nombreux témoignages qui disent tout autre chose. J’ai effectué une recherche sur Pubmed et ai pu me rendre compte que d’autres rapports ont été publiés sur l’apparition de glomérulonéphrites  après des vaccins chez des personnes dont les reins étaient préalablement en parfait état. Toutes ces observations montrent que les maladies chroniques des reins ne font que s’aggraver. Tous les patients que j’ai dialysés après qu’ils aient reçu les vaccins contre la grippe sont des preuves vivantes que les dommages collatéraux de la vaccination existent et que leur gravité est imprévisible.

Certains médecins ont cependant voulu classer ces observations sous prétexte que ces cas seraient anecdotiques. Les rapports de cas se sont cependant à ce point accumulés qu’ils ont pu montrer qu’en prenant en considération la relation bénéfices/risques, il valait beaucoup mieux faire tout simplement et naturellement la grippe.

 

J’ai vu des diabétiques de type I et des patients transplantés relativement bien se porter après avoir été infectés par le virus de la grippe et le H1N1, alors que ces patients seraient censés souffrir terriblement après avoir été contaminés.

 

Quand je me suis rendue dans les chambres stériles du département des soins intensifs où je m’attendais à trouver des personnes terriblement malades de la grippe, je n’ai pu voir que des personnes assises qui mangeaient et jouaient aux échecs avec des membres de leurs familles (qui portaient des masques).

 

Pour moi, ce vaccin n’en vaut pas le risque. Mais si les médecins avaient quelques notions de diététique et s’ils savaient qu’il est possible de soigner une personne infectée avec de la vitamine C, il n’est pas difficile d’imaginer l’impact que cette manière d’envisager les soins aurait sur les autres personnes, comme sur la morbidité. Ma pratique m’a montré l’impact positif que peut avoir cette manière d’envisager le traitement de la grippe chez mes patients atteints de maladies rénales et qui avaient, depuis toujours, refusé les vaccinations.

 

Dr Suzanne HUMPHRIES, MD, néphrologue.

 

Source : initiativecitoyenne

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L
<br /> L’OMS suspend un<br /> vaccin après le décès de 26 enfants dans le Tiers Monde<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Selon les rapports, au moins 26 enfants sont morts et la santé de plusieurs autres a été sérieusement endommagée après qu’ils aient reçu un vaccin avec 5 valences, à savoir le<br /> Quinvaxem. [1] Les journaux ont rapporté que toutes les victimes ont subi des effets indésirables dont la fièvre, des vomissements et l’apparition d’ecchymoses sur l’ensemble du corps. [2] Le<br /> Quivaxem qui est offert gratuitement par l’UNICEF, est un vaccin « préqualifié à l’essai » pour les pays en voie de développement. Actuellement administré aux bébés dès l’âge de huit<br /> semaines, ce vaccin pentavalent est destiné à protéger les nourrissons et les jeunes enfants contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B et HiB (Haemophilus influenzae de type<br /> b).<br /> <br /> <br />  Selon les rapports, les autorités locales ont suspendu tous les lots controversés pour pouvoir procéder à des vérifications. Le Ministère de la Santé a cependant déclaré que le vaccin ne<br /> posait aucun problème quant à sa qualité, sa distribution, sa conservation ou son administration. [3]<br /> <br /> <br />  Bien que des décès aient été signalés au Vietnam, au Sri Lanka, au Pakistan, au Bouthan et en Inde, l’Organisation Mondiale de la Santé<br /> (OMS) s’en est tenue à évoquer la sécurité du Quinvaxem, indiquant que toutes les études du vaccin, fabriqué en Corée du sud, confirmaient sa sécurité !<br /> <br /> <br />  Enfants utilisés comme cobayes<br /> <br /> <br />  Voici un nouvel exemple d’enfants qui meurent et beaucoup d’autres qui souffrent des effets secondaires d’un vaccin testé sur des enfants vulnérables de pays en voie de<br /> développement. N’est-il pas grand temps que l’OMS arrête de prétendre que leurs programmes sont destinés à protéger les enfants ?<br /> <br /> <br />  J’invite les lecteurs à lire un document rédigé par le Dr Rebecca Carley intitulé : « Vaccinations : les<br /> véritables armes de destruction massive (qui provoquent des maladies induites par les vaccins), dans lequel elle écrit :<br /> <br /> <br />  « En fait, la « prévention » d’une maladie par le biais de la vaccination représente en réalité une incapacité à expulser certains organismes en raison de la suppression<br /> de la réponse à la médiation cellulaire. Ainsi, plutôt  que de prévenir la maladie, la vaccination empêche que cette dernière trouve une solution. » [4]<br /> <br /> <br />  Le Dr R.Carley a pris conscience de toutes ces atrocités et elle a tenté désespérément de mettre tout le public en garde.<br /> <br /> <br />  La maladie de Kawasaki<br /> <br /> <br />  Il est tout à fait possible que nombre de ces enfants aient  souffert d’une réponse auto-immune après qu’on leur ait injecté ce vaccin. Je base mon opinion sur une<br /> série d’articles et d’études effectuées sur la maladie de Kawasaki.La maladie de Kawasaki est une maladie auto-immune qui peut survenir après une vaccination. En fait, les scientifiques qui ont<br /> étudié de près cette maladie disent que des preuves suggèrent fortement qu’un agent infectieux comme un virus ou un vaccin puisse provoquer la maladie.Les enfants souffrant de la maladie de<br /> Kawasaki souffrent de symptômes très proches de ceux des enfants qui ont été vaccinés avec le Quinvaxem. J’ai établi un lien avec le Quinvaxem car la maladie peut entraîner les problèmes<br /> suivants :<br /> <br /> <br /> Yeux rouges et injectés de sang provoqués par une conjonctivite (mais sans présence de pus)<br /> <br /> Couperose, taches rouges principalement sur le tronc ou sur les organes génitaux.<br /> <br /> Lèvres sèches, rouges et fissurées<br /> <br /> Langue rouge, enflammée avec des taches blanches circulaires ; gorge rouge.<br /> <br /> Ganglions lymphatiques gonflés de chaque côté du cou.<br /> <br /> Mains et pieds gonflés qui deviennent rouges et durs avec desquamation des doigts et des orteils deux à trois semaines après que la maladie a débuté.<br /> <br /> Mal de gorge<br /> <br /> Toux<br /> <br /> Abdomen douloureux<br /> <br /> Vomissements<br /> <br /> Diarrhée<br /> <br /> Articulations gonflées ou douloureuses.<br /> <br /> <br /> <br />  Plusieurs enfants peuvent mourir d’une insuffisance cardiaque ou d’une crise cardiaque. Au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, la maladie de Kawasaki est réputée être la cause la plus courante<br /> de maladies cardiaques chez les enfants. [6]<br /> <br /> <br />  Dans un document publié par P.A. Brogan et al et intitulé : « Maladie de Kawasaki : une approche fondée sur des preuves pour le diagnostic, le traitement et les futures<br /> recherches », les auteurs déclarent :<br /> <br /> <br />  « En 1967, Kawasaki Tomisaku décrit le cas de 50 enfants japonais atteints de fièvre, d’éruptions cutanées, d’érythème, de gonflement des mains et des pieds et d’adénopathies<br /> cervicales…KD (Kawasaki Syndrome ; Kawasaki Disease) est la plus fréquente au Japon, où plus de 125.000 cas ont été signalés. La maladie est également plus fréquente chez les japonais et les<br /> autres enfants asiatiques vivant à l’étranger. Les enfants âgés de 6 mois à 5 ans sont les plus sensibles avec un pic d’incidence chez les enfants de 9 à 11 mois. On a signalé des variations<br /> saisonnières de la maladie, avec l’apparition d’un pic en hiver et au printemps. On n’a pas observé de contagion directe de personne à personne. Au Japon la maladie est plus fréquente<br /> entre frères et sœurs avec un pic d’incidence de 8-9% entre frères et sœurs de moins de deux ans. »<br /> <br /> <br />  Il est intéressant de noter que les auteurs mentionnent la vaccination comme un déclencheur possible :<br /> <br /> <br />  « … L’irritabilité est un signe important ; elle est presqu’universellement présente bien que ne figurant pas dans les critères de diagnostic. Le mécanisme exact de<br /> l’irritabilité n’est pas clair, mais il peut être lié à la présence d’une méningite aseptique. Un autre signe clinique qui n’est pas repris dans les critères de diagnostic et qui est relativement<br /> spécifique à KD (Maladie de Kawasaki), est l’apparition d’un érythème et d’une induration aux sites de la vaccination BCG… Comme un nombre croissant de nourrissons<br /> reçoivent le BCG au Royaume Uni, il est probable que ce signe deviendra de plus en plus habituel et la prise de conscience de ce fait pourrait permettre un diagnostic et un traitement<br /> plus précoces. »<br /> <br /> <br />  Si vous lisez attentivement les déclarations qui précèdent, vous pourrez reconnaître que l’âge des enfants le plus à risque de contracter la maladie est précisément l’âge à partir<br /> duquel les enfants reçoivent le plus de vaccins.<br /> <br /> <br />  Le Dr Michael Innis se réfère souvent à la maladie dans les cas où des enfants sont abusés. Elle dit que les marques et les ecchymoses que l’on retrouve dans la maladie de Kawasaki sont<br /> souvent confondues avec la maltraitance des enfants. [7]<br /> <br /> <br /> Trois chercheurs qui ont écrit un article intitulé « La maladie de Kawasaki chez un nourrisson après la vaccination » et publié par l’Institut National de Santé, précisent dans leur<br /> résumé :<br /> <br /> <br /> « Nous décrivons<br />
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