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L’essai clinique devrait durer un an, sur des sites choisis  par les autorités locales dans le Queensland, en Australie du Sud, à Victoria et enAustralie-Occidentale. Pax Vax a proposé un certain nombre de mesures de contrôle visant à limiter la propagation du vaccin et de son code génétique.

 

PaxVax  est une société est située à Menlo Park, en Californie. Son centre de fabrication de produits biologiques se trouve dans la ville de San Diego. Derrière PaxVax, et leurs brevets on trouve des organisations comme la Fondation Bill et Melinda Gates et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), notoirement liées à l’inévitable Monsanto.

 

L’objectif est selon Pax Vax de vérifier l’efficacité du vaccin pour prévenir le choléra. Il est en cours d’élaboration pour les voyageurs qui envisagent de visiter les zones en dehors de l’Australie où le choléra est endémique. L’essai proposé ferait partie des trois essais cliniques internationaux couvrant différents groupes d’âge. Un maximum de 1000 bénévoles recevra le vaccin OGM en Australie. 


Selon les déclarations de Paxvax telles qu’elles figurent dans les documents de l’OGTR, le vaccin contient des bactéries OGM du Vibrio cholerae qui est l’agent causal de la maladie de la gastro-entérite connu comme le choléra, généralement liée à l’ingestion d’eau contaminée. Le choléra se trouve dans les milieux aquatiques dans les zones tropicales et a été repéré dans certaines parties du nord de l’Australie.

L’article à l’origine à l’information -  Australia determined to vaccinate by release of aerosolized GMO vaccine, sur The Viral Post -, relayé sans vérification par nombre d’autres sites, a faussement indiqué que le vaccin serait diffusé dans l’athmosphère, image d’avion épandeur à l’appui.

Contrairement à ce qui est ainsi publié ci et là,  le protocole ne prévoit pas une dissémination dans l’athmosphère mais son administration par voie orale au moyen d’une boisson. La demande d’autroisation référencée Dir 126 est très précise en ce sens: « Clinical trial participants will be given the vaccine as a drink. It will not be injected or sprayed into the air »  »(Les participants à l’essai clinique recevront le vaccin par une boisson. Il ne sera pas injecté ou pulvérisé dans l’air »).

 

L’administration d’un vaccin par voie orale n’est pas quelque chose de nouveau. C’est une procédure utilisée couramment pour vacciner les animaux à grande échelle dans leur milieu, via des appâts disséminés dans la nature. Un des appâts-vaccins les plus connus est le « Raboral » des laboratoires Sanofi, prévu à l’origine contre la rage du renard, mais depuis étendu à d’autres carnivores.  Dans l’Union européenne, il a fait l’objet d’une directive en 1993.

 

La vaccination par voie orale ou spray nasal est encore peu utilisée chez l’Homme.

 

Il n’empêche que la vaccination par voie orale, bien que recconnue comme moins toxique que l’injection intra-musculaire , de produits OGM n’est pas sans lever de nombreuses inquiétudes dans les milieux autorisés non inféodés à l’industrie OGM. Chercheurs, scientifiques, ONG, associations citoyennes tirent la sirène d’alarme contre cette ingestion de bactéries vivantes OGM en ocurrence de choléra.

Bien plus, il est à craindre que l’évolution technologique et politiquement fascisante de nos démocraties permette prochainement la diffusion dans l’athmosphère de vaccins, qui plus est OGM, destinés à l’Homme. The Viral Post ne fait sans doute qu’anticiper ce qui est à venir.

Certains sites alternatifs lient d’ores et déjà chemtrails et vaccinations forcées et même stérilisation des populations.



Les textes legislatifs sont déjà prêts en tout cas.



Ainsi la directive 90/220/CEE relative à la dissémination volontaire d’organismes génétiquement modifiés dans l’environnement autorise tacitement cette possibilité  sur l’ensemble du territoire communautaire. Le terme « diffusion » employé dans la directive n’exclue nullement la pulvérisation dans l’atmosphère.



Les sociétés de biotech ont déposé des brevets en ce sens . Comme Paxvax par exemple.

Big Pharma, d’une manière générale,  poursuit  son oeuvre de persuasion.

En 2006 Michael Greenwood a écrit un article pour la Yale School of Public Health en Californie, intitulé «La pulvérisation aérienne permet de réduire efficacement l’incidence du Virus du Nil Occidental (VNO) chez les humains. » Le VNO est responsable de milliers de morts aux Etats-Unis,chiffre en augmentation régulière.



La vaccination  des populations sans leur consentement est quelque chose de largement acquis, malgré les résistances accrues.



Bien plus, la vaccination a été recemment été étendue aux mineurs de plus de 12 ans dans certains Etats américains. Les enfants peuvent se faire vacciner contre les maladies sexuellement transmissibles comme l’hépatite B et le virus du papillome humain (VPH) sans que que les parents en soient même informés depuis janvier 2012.



Manipuler les mineurs est un jeu d’enfants pour Big Pharma, qui se mettra au préalable dans la poche les enseignants docilement endoctrinés. Précisons que, oh surprise, 25 des sénateurs élus parlementaires de la Californie qui ont voté en faveur du projet de loi sont soupçonnés fortement d’avoir reçu des contributions de campagne des laboratoires Merck et que les frais administratifs annuels – 10 000 dollars annuels par enfant – sont à la charge de l’Etat Californien.

 

 

Bref, dans ce domaine comme dans tant d’autres, préparez-vous au pire.

 Sources quant à la demande de PaxVax au gouvernement australien:

 

http://www.ogtr.gov.au/internet/ogtr/publishing.nsf/Content/dir126appsumm-htm

http://www.ogtr.gov.au/internet/ogtr/publishing.nsf/Content/dir126qa-htm

Le récépissé de la demande de licence par Pax Vax

Questions et réponses quant à la demande d’autorisation

Dans l’UE:

La réglementation européenne quant à la diffusion de produits de OGM dans l’environnement

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