Le Nouveau Paradigme

Le Nouveau Paradigme

Commencer à penser par soi même c'est déjà faire partie de la solution


MH370: de nouvelles infos troublantes!

Publié par Le Nouveau Paradigme sur 3 Septembre 2015, 08:22am

Catégories : #Nouvel ordre mondial

Encore des infos troublantes sur le MH370... !

On lache pas l'affaire !

Des infos troublantes… très troublantes même :

Paul Weeks, mineur de profession, a eu un mauvais pressentiment.

Paul Weeks, est Australien, quelques heures avant de prendre le vol MH370 de Malaysia Airlines, le 7 mars, il se défait de sa montre et de son alliance et les confie à Danica, sa femme. S’il lui « arrive malheur », elle doit les donner à leurs deux fils, Lincoln, 3 ans, et Jack, 11 mois.

Il y a trois ans, en Nouvelle-Zélande, les Weeks ont déjà réchappé à un tremblement de terre de magnitude 7,1 qui a tué 200 personnes. En décembre dernier, ils ont failli perdre la vie dans un accident de voiture. Paul est devenu superstitieux. Danica a protesté : « Ne sois pas stupide. » Elle l’a convaincu et Paul est parti avec sa montre et son alliance.

Il est persuadé que son heure est venue, il quitte son épouse avec la certitude de ne jamais la revoir. Il figure sur la liste des 239 passagers disparus.

Mike McKay, technicien sur la plateforme pétrolière Songa Merkur, au large du Vietnam, croit voir un avion en flammes s’abîmer en mer à peu près à l’heure de la disparition du vol MH370. Il envoie un e-mail aux agents de contrôle du trafic aérien de Hô Chi Minh-Ville. Des secours sont envoyés à l’endroit indiqué. Sans résultat.

Dans le détroit de Malacca, entre la Malaisie et l’Indonésie, un cadavre est retrouvé. On découvrira plus tard que c’est celui d’un marin pêcheur. ( Aurait-il vu quelque chose qu’il ne devait pas voir ? )

Encore des infos troublantes sur le MH370... !

Ci-dessus un flaperon de B.777, remarquez la forme plutôt "carré" de la pièce.

Et ci-dessous le flaperon retrouvé sur l'ile de la Réunion...!

De toute évidence cela ne correspond absolument pas !

D'ailleurs après avoir examiné les photos que le site d'informations en ligne Imaz Press Réunion lui avait transmis, Xavier Tytelman, spécialiste de la sécurité aérienne, a déclaré au site que «la taille et la forme ne correspondaient pas à son avis à un avion de ligne moderne», avant de se raviser, on ne sait pas pourquoi ?!  Il a ainsi plus tard fait remarquer sur son compte Twitter qu'il y avait «des similitudes incroyables entre le flaperon d'un B777 et le débris retrouvé». Etrange non ?

Un autre expert, Christophe Naudin, a lui aussi estimé «quasi nulle» la probabilité que le fragment retrouvé provienne du MH370. «Les premières photographies (...) me font plutôt penser à un morceau d'aile gauche d'un avion léger», a-t-il affirmé !

Source : Le Parisien

Le commandant de bord Zaharie Ahmad Shah, 53 ans, père de trois enfants, ne peut pas ignorer que dans sa cargaison des piles au lithium hautement inflammables ont déjà provoqué de graves incidents.

Un avion de ligne, même plein en passagers auxquels s’ajoutent leurs bagages, garde une capacité de transport cargo conséquente. Le bordereau de chargement mentionne des piles au lithium, ces fameuses piles qui alimentent la plupart des appareils issus de notre frénésie de connexion. Il ne peut pas ignorer qu’elles sont hautement inflammables et à l’origine de plusieurs incidents graves, dont l’accident mortel d’un 747 de UPS qui s’est écrasé après avoir pris feu près de l’aéroport de Dubai.

Le reste du chargement est beaucoup plus flou. Des fruits frais sont évoqués, bien que la saison fasse douter de leur réalité. NNR Global Logistics, la société chargée du fret, interrogée à plusieurs reprises, suit les consignes de silence et ne répond à aucune question.

Il serait grand temps également qu'une enquête sérieuse, s’intéresse à la piste de l’arc Nord, puisque celui de l’arc Sud n’a rien, absolument rien donné… !

Mais continuons...

D’abord réticents, les Malaisiens finissent par inviter des experts de Washington. Parmi eux, Scott Dunham, du National Transportation Safety Board. Cet ingénieur de 56 ans passe pour être un des meilleurs experts en radar au monde. Et ce qu’il découvre est effrayant.

Vers 1 h 30, juste après la coupure des moyens de communication, le Boeing a brutalement viré à gauche, en direction sud-ouest. Il est d’abord monté très haut, jusqu’à 13 700 mètres, ce qui est largement au-dessus de l’altitude maximale autorisée, pour redescendre subitement à 7 000 mètres. Des émetteurs, qu’il est impossible de débrancher manuellement, ont continué à émettre des signaux. Les experts ont intercepté le dernier à 8 h 11 du matin.

Les passagers du vol MH370 ont vécu un long supplice, car le déroutement est survenu au début du vol ; il semble impossible qu’ils ne se soient pas rendu compte qu’une catastrophe approchait. Les virages brusques et surtout les changements d’altitude extrêmes ont dû provoquer des nausées et des pertes de conscience.

Kuala Lumpur a la réputation d’avoir un aéroport passoire. D’autres passagers s’embarquent-ils alors dans l’avion sans figurer sur la liste ? C’est une éventualité.

Source : Paris match

 

On envoie les recherches sur une immense zone sous-marine dans l'océan Indien, distante au plus près de 1 600 kilomètres des côtes Australiennes.

Chercher un trousseau de clé dans une ville comme Londres qui serait plongée dans le noir. C'est ainsi qu'Erik van Sebille, océanographe à l'Imperial College de Londres et professeur adjoint à l'université de Nouvelle-Galles du Sud, qualifie les recherches en cours pour retrouver l'épave du MH370. Par ailleurs, la zone d'exploration est si isolée que les navires ont besoin de six jours de mer pour s'y rendre, à partir du port de Fremantle, dans l'ouest de l'Australie où ils se ravitaillent.

Les enquêteurs officiels ont déduit des données satellite de l'entreprise Inmarsat que l'avion avait mis le cap vers le sud et volé des heures durant avant de s'abîmer dans le sud de l'océan Indien. Mais ces conclusions ont été remises en question par des spécialistes de l'aviation et par des enquêteurs indépendants.

18 heures après la disparition du MH370, des avions de secours vietnamiens ont repéré deux nappes de carburant, longues de 15 km, et une colonne de fumée au large du Vietnam. Dans un premier temps, leur origine n'a pu être identifiée…

 

Que dire et que penser également sur le fameux extincteur de soute retrouvé sur l’île la plus méridionale des Maldives, son fabricant américain a confirmé que l’objet venait bien d’un 777, mais a demandé à pouvoir l’expertiser pour pouvoir dire à quel avion précisément il appartenait, bien que le 777 de la Malaysia soit le seul Boeing disparu dans la région.

Les autorités maldiviennes l’ont donc remis aux Malais venus le récupérer, qui l’ont emmené en Malaisie. Puis, selon le ministre malais de l’information, il aurait été entreposé dans un hangar militaire où on l’aurait perdu ! ?

Étrange négligence qui semble-t-il n’émeut pas le lobby pro-américain ni les journalistes. Excepté un journaliste qui s’est rendu sur place aux Maldives pour enquêter et a confirmé la découverte de cet extincteur de soute. Son article accueilli par un silence assourdissant est resté sans suite.

Et là, contrairement à ce qui s'est passé sur l'ile de la Réunion, on en a pas fait tout un fromage, on a pas ratissé les plages les jours suivant dans la zone etc !

 

Passons à présent à un article tiré du site Minurne.org, qui soulève quelques lièvres, pose de bonnes questions, et nous insinue le doute, je ne reprends ici pas l'intégralité de l'article, il est consultable dans le lien source en fin de sujet :

Sur l’île de la Réunion, les associations écologistes sont contentes, on nettoie les plages organisé de façon quasi militaire le ramassage de tous les détritus arrivant sur ses plages, une quinzaine de kilomètres, sur lesquelles (zone de l’étang Bois rouge) on a trouvé le volet présumé du MH370 de la Malaysia Airlines, un « flaperon ».

Gérard Agate, vice-président de « La plateforme des emplois verts » est enchanté, mais, dit-il « On ramasse tout ce qu’on trouve. On récupère vraiment tout. Ensuite on donnera tout aux policiers de Saint-André. C’est à eux de trier pour voir si ça appartenait à l’avion« . C’est gentil, mais les policiers ne sont pas d’accord et disent que ce n’est pas à eux de le faire, c’est la gendarmerie qui est chargée de l’enquête, c’est donc à elle de trier !

Les gendarmes diront que c’est au BEA, on n’en finira pas. Et comme l’a observé Gérard Agate, on trouve bien quelques objets avec des idéogrammes chinois, notamment des bouteilles, « Mais il faut être prudent, on ne sait pas si ces bouteilles n’ont pas été jetées de bateaux qui passaient au large de l’île« .

Cette possibilité est valable pour tout objet arrivant sur les plages, charrié par les courants, même un flaperon. De plus, la fiabilité des courants marins n’est pas absolue, des objets se trouvant en bordure du courant peuvent être happés par un courant contraire ou divergent.

Le plus drôle, c’est que les autorités aimeraient pouvoir être formelles sur le point de départ du voyage marin de l’aileron du MH370, pour confirmer la thèse controversée, mais qui est la leur, d’un virage plein Sud de l’avion une fois arrivé dans l’Océan Indien et de son crash marin au large de l’Australie.

C’est pourquoi les experts du BEA vont faire parler les balanes et surtout les anatifes trouvées mortes asphyxiées sur les tôles de l’aileron. Il le faut, pour innocenter l’allié américain des Australiens, des Malais et des Français et faire taire ceux qui soupçonnent que si l’avion était parti pour se crasher sur Diego Garcia il a pu être abattu par le système de protection – quel qu’il soit – de la base militaire US.

 

Mais, c’est curieux, le professeur Hans-Georg Herbig (ci-dessus), chercheur à l’université de Cologne, spécialiste des anatifes de l’océan Indien, a immédiatement réagi et proposé de mettre à la disposition des autorités françaises son expérience et sa base de données d’ADN de ces crustacés. Il étudie, en effet, leurs paramètres génétiques. Ceux-ci diffèrent selon les régions géographiques ou la température de l’océan.

L’analyse génétique des espèces présentes sur le flaperon permettrait de déduire le cheminement de celui-ci. Or, les enquêteurs français n’ont pas répondu à sa proposition, ce qui peut s’expliquer par leur souci de  ne pas se retrouver coincés par un avis autorisé qui les empêcherait de valider la position officielle souhaitée par notre gouvernement très pro-américain.

 

Le virage vers le Sud reste une hypothèse valable, bien sûr. Elle sous-entend qu’il s’est passé quelque chose de grave dans l’avion, lequel s’est retrouvé ensuite dirigé par son pilote automatique jusqu’à épuisement de son carburant.

Les spécialistes penchent majoritairement pour cette hypothèse de la mort des pilotes, qui serait confirmée par le fait qu’un satellite Inmarsat aurait enregistré les « pings » émis à intervalles réguliers par l’avion. C’est possible, mais pas certain : le satellite en question étant britannique, les fidèles alliés des Américains ont très bien pu orienter les recherches sur une fausse piste.

De plus Inmarsat prétend que l’avion a volé pendant encore six heures, alors que Rolls Royce qui suivait lui aussi par satellite l’avion par les signaux émis à intervalles réguliers par les moteurs soutient que l’avion n’a volé que 4 heures, le temps d’arriver, par exemple, à hauteur des Maldives.

Encore des infos troublantes sur le MH370... !

La position donnée par Inmarsat est extrêmement imprécise !

Même l’arc sud (en rouge) est erroné, le dernier contact radar se situe à la pointe nord de Sumatra.

Les  « ping » enregistrés par le satellite, ne peuvent pas se trouver entre Java et Bornéo, quasiment à la verticale de Jakarta dont l’aéroport est équipé de puissants radars. L’avion est beaucoup plus à l’Ouest.

Un « spécialiste » affirmait il y a quelques jours à C dans l’air que l’avion n’avait certainement pas pris la direction de Diego Garcia « car tous les pilotes savent que c’est interdit et que leur avion risque d’être abattu s’ils enfreignent les consignes« . C’est vrai pour tous les pilotes sains de corps et d’esprit qui savent que l’approche de Diego Garcia est formellement interdite sans autorisation, et l’atoll protégé par des défenses aériennes, marines et sous-marines exceptionnelles.

Mais le Pentagone est lui aussi très protégé ! Ça n’a pas empêché le 11 septembre l’un des avions de l’escadrille djihadiste, dont deux ont détruit les tours de Manhattan, d’arriver jusqu’à lui, même s’il n’a pas pu s’écraser droit dessus comme ses pilotes djihadistes l’espéraient. ( ndlr: Attention, c'est là, la version officielle, je ne cautionne pas )

Et puis les pilotes, si c’était leur intention d’aller s’écraser sur les hangars remplis de missiles – dont certains équipés d’ogives nucléaires – de Diego Garcia, pensaient peut-être que la défense américaine n’oserait pas tirer sur un avion civil, ou en tout cas hésiterait suffisamment longtemps, allant d’ordres en contre-ordres militaires et politiques de Washington, pour permettre à l’avion d’être abattu sur ou à très courte distance de l’atoll, ce qui aurait permis d’accuser les Américains d’un grand crime : « Un avion civil en perdition abattu par les Américains« .

On oublie aussi que l’aileron trouvé à la Réunion n’est pas le premier débris flottant arrivant sur une île de l’Ouest-Indien (l'extincteur sphérique de soute, s’il a flotté c’est qu’il était vide et a donc fonctionné…)

Le même spécialiste de C dans l’air disait que le témoignage des pêcheurs ayant vu « un gros avion avec une ligne rouge et bleue, volant bas en faisant beaucoup de bruit et virant vers le Sud-Sud-Est » ne pouvait être qu’un mensonge, « les radars américains n’ayant détecté aucun avion dans la région ce jour-là« .

Ce n’est évidemment pas le radar de l’aérodrome de Malé, capitale des Maldives qui aurait pu le détecter, il est peu puissant et à courte portée. D’autre part, c’est oublier qu’après avoir dépassé Bandar Aceh à la pointe septentrionale de Sumatra où un radar militaire l’a brièvement suivi allant droit vers l’Est en ayant échappé précédemment à tous les radars civils indonésiens, malais et thaï de la zone, cet avion a disparu des écrans définitivement.

Et puis, si les Américains ont abattu l’avion et ne veulent pas que cela se sache, ils ne vont pas dire qu’ils l’ont repéré avant !

Encore des infos troublantes sur le MH370... !

 

Après avoir viré à l’Ouest, le 777 longe la frontière Malaisie-Thaïlande, puis remonte vers le N-O pour contourner Sumatra. C’est un parcours visiblement réfléchi. Pourquoi serait-il ensuite allé droit vers le Sud se perdre au large de l’Australie ? La logique veut qu’il ait continué vers l’Ouest.

On ne connaît pas la portée des radars qui protègent Diego Garcia, c’est un secret-défense, mais même placés très haut sur des pylônes ils ne peuvent pas détecter un avion « volant bas » à plus de deux cents  kilomètres de l’atoll. Seule une ronde aérienne de chasseurs-bombardiers US, peut-être des Northrop B2 furtifs, aurait pu le faire et c’est peut-être ce qui s’est passé.

Ensuite, sommations, ordre de changer de cap, silence de l’avion et conformément aux instructions on finit par l’abattre. C’est en réalité, si c’est ce qui s’est passé, la seule solution pour éviter une énorme catastrophe humaine et militaire sur Diego Garcia, doublée d’une autre énorme catastrophe diplomatique et politique celle-là. Les Américains n’avaient guère d’autre choix. Mais ce n’est bien sûr qu’un hypothèse comme celle du trajet Sud-indien au large de l’Australie qui est tout de même peu fiable.

Encore des infos troublantes sur le MH370... !

Venant du Nord de Sumatra, 777 fonce vers l’Ouest, longeant au Sud le couloir aérien international qui va vers Mahé, capitale des Maldives (point blanc en haut à gauche). Si on l’aperçoit, ce n’est pas anormal. Il passe au dessus de Kadahuvadhoo (pointe de la flèche rouge, à gauche sous Mahé) et vire vers le Sud vers Diego Garcia.

Des pêcheurs l’aperçoivent, puis il disparait et quelques semaines plus tard un extincteur de soute est retrouvé sur l’île la plus méridionale (à hauteur du nom Maldives en blanc). Ça, c’est vraisemblable, mais pour le moment pas certain.

En pointillés jaunes le trajet supposé de 777, l’encart noir explique que  vu la distance parcourue, donnée par les extrémités de l’angle en blanc,et la consommation en jet fuel de l’avion,  une panne sèche était inévitable 200 km après Kadahuvadhoo (le rectangle rouge « out of fuel »)

Enfin, si l’on veut mener des recherches de débris, sérieuses, il y a deux autres zones possibles dans la région : l’Ile Maurice qui est située sur le grand courant équatorial sud en avant, à l’Est de la Réunion, et l’archipel des Chagos britanniques un peu plus au Nord.

Attendons...

Cette enquête pour le moment polluée par des présupposés politiques et diplomatiques avec comme thèse « on ne doit pas retrouver l’avion pour ne pas compliquer la situation, mais faire semblant de le chercher pour sauver la face » n’est pas clair ni vraisemblable.

Il y a une possibilité non négligeable de trafic ou de suppression des preuves qui ne confirmeraient pas la thèse officielle, comme par exemple : rien ne prouve que le volet du 777 n’a pas été repêché par un navire patrouillant autour de Diego Garcia qui aurait reçu l’ordre de le remettre à l’eau au large de la Réunion de manière à ce qu’il arrive à coup sûr sur une plage. Mais il est possible aussi qu’il y ait des surprises auxquelles on ne s’attend pas.

Ne jamais oublier le vieux principe de Sherlock Holmes et d’Hercule Poirot : un enquêteur qui ne balaie pas et ne garde pas en tête toutes les hypothèses, même les plus suspectes, qui par discipline ne conserve que celle qui convient aux autorités gouvernementales (comme le fait l’inspecteur Jack) est un farceur.

Surtout quand il est avéré que depuis le début les autorités malaises et américaines mentent et interdisent que l’on suive d’autres pistes. Personne ne semble d’ailleurs se soucier de savoir pourquoi, depuis la première heure, la Malaisie fait tout pour  brouiller les pistes en donnant des  informations opaques et contradictoires.

Encore des infos troublantes sur le MH370... !

Il  y a d’autres pistes pourtant intéressantes, par exemple, pour mémoire, celle des 20 ingénieurs qui partaient en Chine vendre à l’armée chinoise un brevet et une puce révolutionnaire, brevet détenu à 80 % par des Chinois et 20 % une société américaine spécialisée dans l’avionique militaire et les avions furtifs.

Comme le propriétaire de la part américaine du brevet n’était pas dans l’avion, contrairement aux quatre Chinois, c’est lui qui légalement récupère, du fait de la mort des quatre autres, la totalité de ce brevet d’une valeur considérable.

La justice américaine a validé cette décision il y a quelques semaines. Il ne faudrait pas qu’une mauvaise surprise vienne contrarier tant d’efforts jusqu’ici couronnés de succès, surtout quand l’heureux propriétaire s’appelle Rothschild !

Des surprises, il peut encore y en avoir...

par L'Imprécateur Source

Encore des infos troublantes sur le MH370... !

Sans oublier les autres faits étranges développés dans ces sujets liés, faits qui n’ont jamais été à la une des merdias, et pourtant ils le devraient !!

VU ici http://homme-et-espace.over-blog.com

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
B
Que je suis déçu pas d alien? Pas de monde parallèle? ?....même pas une téléportation rien de rien juste un complot minable pour tuer 4 ou 5 gugusses qui auraient inventés une puce super puissance? Serieux là ou c'est une blague? Si vous voulez de la concurrence à le gorafi il va falloir être plus convaincant parce que là.....
Répondre
C
pour moi ils ne sont pas morts mais dans les mondes souterrains et ils vont tous bien ! <br /> j'en ai eu la vision très nette de l'appareil immobilisé sous quelque mètres d'eau très très claires avec un message ' ne vous inquiètez pas tout ira bien ' ; certains avaient leurs portables à la main mais pas de réseau ; il semblerait que l'eau fasse obstacle ?
Répondre
B
Aaaaaaaah non ! ils sont dans l'atlantide caché dans une bulle temporelle, soyez serieux svp racontez pas n'importe quoi rooooooo
R
Merci pour cet article extrêmement bien fait et qui , en effet, soulève bien des questions et bien des doutes... :(
Répondre
T
Vous billez pas, les hautes sphères savent ce qui s'est réellement passé.<br /> A une époque ou le moindre contribuable est espionné, j'imagine mal qu'on ne puisse pas savoir ce qu'un avion avec plus de 200 passagers à bord est devenu ! C'est tout simplement impensable. <br /> Mais il ne faut pas se faire d'illusions, comme toujours dans ces cas là, le commun des mortel ne saura rien. Seule une version officielle (donc bidon) finira par être donnée. <br /> Cos'e la vita...
Répondre
C
En général quand les rothschild sont dans le coup, le sang coule à flots... La présence sur ce vol, d'ingénieurs allant vendre une puce "militaire" aux Chinois, dont les capacités militaires combinées avec celle de leur allié Russe sont nettement supérieures à celles des va-t-en guerre ricains-otan; à elle seule peut expliquer ce drame.<br /> <br /> Il y a des conspirationistes paranos qui prétendent que l'avion écrasé dans les Alpes françaises a été victime d'un test raté d'une arme de destruction de missiles intercontinentaux. Hypothèse étayée par un blackout aux pays-bas à la me^me heure, à l'autre bout du "rayon" mortel...<br /> <br /> Mais soyons sérieux, nous savons tous que l'Amérique et l'Otan agissent pour la paix dans le monde en trucidant des tyrans belliqueux. Le fait que la plupart des nations "tyranisées" "sauvées" n'étaient pas encore été sous le joug de la banque mondiale et d'une "dette" publique irremboursable est purement casuel...!
Répondre

Nous sommes sociaux !

Articles récents