Depuis trop longtemps de nombreuses questions nous semblent devoir rester sans réponse. Pourquoi l'univers ? Pourquoi le temps ? Pourquoi la vie ? Et surtout, suis-je vraiment insignifiant et inutile dans l'espace immense qui m'entoure ?
Jean-Pierre Garnier-Malet est physicien il nous parle de sa découverte : la théorie du dédoublement dans l'espace et le temps, du passé, du présent et du futur. Les instincts, intuitions et prémonitions sont issus d'une propriété fondamentale du temps.
C'est une des raisons pour laquelle les bébés dorment beaucoup : ils viennent de naître et ont besoin de beaucoup d'informations pour survivre, pour vivre leur présent. Ils vont donc, à travers leurs rêves, voir leur futur et, ainsi, s'y préparer. Les réflexes qu'il ont de manger, par exemple, proviendraient de connaissances acquises à travers leurs rêves.
Il explique aussi que nous sommes dans une période de «fin des temps». Pas de destruction du monde, d'apocalypse ou de catastrophe. Simplement la fin d'un cycle de 25 000 ans. Comme nous nous préparons au prochain cycle, nous devons obtenir de plus en plus rapidement de l'information sur notre futur pour nous préparer à un nouveau paradigme, d'où l'accélération de conscience que nous vivons depuis plus d'une décennie maintenant.
Cette théorie trouve sa vérification et sa justification dans le Cosmos et permet à l'homme de comprendre pourquoi et comment il est véritablement un créateur de ses possibilités futures (Cf. le site de Jean-Pierre Garnier-Malet). Son intérêt dans le quotidien résulte dans la possibilité de contrôler un principe vital capable de nous donner en permanence un équilibre salutaire, instinctif et intuitif.
C'est la méconnaissance de ce principe qui déséquilibre actuellement les hommes et notre planète. Pour éviter des désordres d'envergure, individuels et planétaires, il serait urgent d'appliquer ce que nos ancêtres appelaient “Principe de l'Alpha et de l'Oméga” et que la science vient de redécouvrir.
Pour la première fois, la théorie du dédoublement permet de calculer des constantes universelles (vitesse de la lumière, constante de structure fine). Elle définit, explique, justifie le cycle de précession des équinoxes (conforme à l'observation, ce cycle étant celui du dédoublement des temps). Elle prévoit également des modifications de notre système solaire à la fin de ce cycle par l'arrivée de planétoïdes, justifiée dans une publication à American Institute of Physics. Enfin, bouleversant notre notion du temps, elle met surtout en évidence une énergie d'échange d'information particulaire entre passé, présent et futur dans des ouvertures temporelles imperceptibles.
Or le cycle de dédoublement des temps de notre système solaire arrive à sa fin et cela peut engendrer des bouleversements planétaires. L'arrivée de ces planétoïdes dans la lointaine ceinture de Kuiper déclenche à la fois de graves modifications de la ceinture des astéroïdes et de violentes explosions solaires. Nous ne sommes pas sans ignorer la pluie de météorites qui s'abat sur la terre et qui va en s'aggravant. Pour compenser cet apport de masse, notre planète réagit par des rejets volcaniques de plus en plus nombreux. Tous ces échanges d'informations, de masses et donc d'énergies, bouleversent notre monde dont le climat change brutalement.
Grâce à l'observation (faites depuis 1868) des explosions solaires, j'ai démontré que nous visions la période de transition de 180 ans qui nous sépare de notre fin des temps dans notre système solaire. Correspondant aux 3 premières périodes de 30 ans, 3 explosions importantes (1899-1929-1959-1989) ont ouvert les « portes » du futur qui a été créé dans les ouvertures temporelles pendant le dernier cycle de 25 000 ans. Les atrocités des guerres du 20ème siècle sont encore dans notre mémoire. On était loin de découvrir les bienfaits de l'apocalypse.
Depuis 1989, s'ouvrent les portes du passé qui devrait nous amener les solutions à nos problèmes. Comme nous vivons dans les ouvertures temporelles du passé, nous ne pouvons connaître la date de l'ouverture de ces portes à l'avance. Le maximum possible entre deux ouvertures est théoriquement de 30 ans. Cependant, la dernière explosion solaire d'envergure qui a ouvert la cinquième porte a eu lieu en 2003, soit 16 ans avant la date théorique. Il est difficile de savoir quand aura lieu la prochaine et avant dernière. Un des cycles solaires bien connu est de 11 ans, le maximum était en 2001, l'autre maximum sera en 2012. Comme le minimum de 2006 était presque égal au dernier maximum, on peut craindre le pire.
En effet, une ouverture précipitée de cette sixième porte que les anciens appelaient sixième « sceaux de l'apocalypse », risque de perturber notre planète déjà fragilisée par l'ouverture trop brutale de la cinquième en 2003. Les modifications climatiques et géologiques que nous observons nous montre que notre planète est bien dans le rouge.
Dans ma dernière publication scientifique en 2006, j'ai pu expliquer le pourquoi de l'arrivée des « planètes nouvelles » (appelées maintenant planétoïdes) à l'horizon de notre système solaire, dans la ceinture de Kuiper, près de Pluton. Il est évident que l'arrivée de ces énormes masses planétaires perturbe tout notre système solaire et notre petite planète. Faut-il attendre que le ciel nous tombe sur la tête pour réagir enfin ?
Sachant que les échanges d'information sont des courants énergétiques qui remplissent l'univers d'un éther permanent, il est aisé de comprendre qu'une « réalité présente » comme la nôtre fournit de l'énergie à une « réalité future » dans ses ouvertures temporelles. Si notre planète ne reçoit pas en échange la compensation de cette perte par une « réalité passé », son équilibre devient instable. Dans ce cas, la planète compense le manque d'énergie par une attraction de masse. Cela entraîne une pluie d'astéroïdes et de météorites de plus en plus dense. Parfaitement observée depuis une vingtaine d'années, ce phénomène s'aggrave de nos jours. Cela participe à un effet de serre.
Loin de nous, l'arrivée des planétoïdes près de Pluton entraîne près de nous des explosions solaires d'envergure qui accélère le déséquilibre planétaire par des vents solaires de plus en plus violents.
Trop boulimique, attirant trop de météorites, la terre devient anorexique en vomissant par ses volcans de trop plein. La poussière atmosphérique augmente, l'effet de serre et le réchauffement climatique aussi. Les explosions volcaniques perturbent la chimie de l'atmosphère qui change, aggravant la perte d'ozone dans l'atmosphère. Les nuages bas qui réfléchissent la chaleur comme un miroir ont du mal à se former. Leur diminution entraîne une sécheresse et une diminution des nappes phréatiques.
Enfin notre mode de vie sur terre participe au déséquilibre énergétique.
Ce n'est pas seulement en développant des vertus écologiques, ni en réduisant notre production industrielle ou alimentaire que nous atteindrons l'équilibre à la fin du dédoublement des temps. Les pertes énergétiques dans les ouvertures temporelles vers le futur sont de bien plus grande envergure.
Source :Garnier Malet
"Vers un nouveau paradigme"
2012 et aprés