NW Science a décidé de mettre à plat les hypothèses et spéculations théoriques de la thermodynamique 3D… qui a largement montré ses limites, tant au travers de ses gâchis thermiques que dans l’usage inconsidéré que nous faisons des énergies « fossiles ». Ni les fans de Boltzmann, de Planck ou d’Einstein, ni les postulats ou Prix Nobel des années 1900 n’y peuvent rien. Les expériences vécues et les faits actuels prouvent que la dualité spatiale 2x3D exposée par NW Science permet de mieux comprendre la réalité spatiale et corporelle. Le traitement « thermocinétique » des interactions rend mieux compte des expériences de toute nature (sensorielle), et cette conception novatrice échappe aux dérives intellectuelles du 20ème siècle. Parmi ces dérives, souvent d’origine anthropique, figure par exemple l’illusion d’une différence de comportement entre les « micro-corps » et les « macro-corps ». Mais le plus utile est incontestablement de redécouvrir la véritable nature de la thermodynamique… des corps, ce qui nous semblait jusqu’alors sans intérêt. Pour s’en convaincre, interrogeons-nous par exemple sur l’apparent épuisement énergétique, associé, ou non, au célèbre « réchauffement climatique » !
L’approche de NW Science semble la plus lucide, car découvrir nécessite de sortir des sentiers battus, de se rendre disponible pour entrevoir de nouvelles solutions, et de s’investir dans la durée. Et ce travail s’exprime au travers d’articles progressivement plus accessibles. Mais bien plus interpellant : de récentes découvertes officielles abondent dans le sens de ce nouveau cheminement conceptuel. Réfléchissons ici à deux exemples 2012, l’un dans le microscopique, et l’autre dans le macroscopique :
- Plusieurs équipes de chercheurs ont réussi à observer in situ des molécules et des protéines, à l’échelle du nanomètre. A aucun moment ces expériences n’ont été confrontées à un quelconque problème d’agitation cinétique,… pourtant annoncé par les théories officielles de physique !
- Une équipe d’astrophysiciens (EPF Zurich) a réussi à vérifier la parfaite corrélation entre les cycles de longue durée d’activité du soleil (88, 104, 150, 208 et 506 années), et ceux de l’activité cinétique orbitale de ses planètes. Il s’agit là de « macrocycles thermocinétiques 2x2D » (d’écliptique 2S), qui deviennent prévisibles : la planète Terre, associée à ses collègues, coproduit… les éruptions solaires !
Cher lecteur, soyez le bienvenu dans votre nouveau paradigme… thermocinétique.
Quantum of cosmos