Le Nouveau Paradigme

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Commencer à penser par soi même c'est déjà faire partie de la solution


Pourquoi les gouvernements changent mais la politique reste la même!

Publié par Dav sur 13 Octobre 2012, 16:48pm

Catégories : #Nouvel ordre mondial

 

La démocratie a déjà cessé d'être une réalité.

 

Les responsables des organisations qui exerçent le pouvoir réel ne sont pas élus, et le public n'est pas informé de leurs décisions.

La marge d'action des états est de plus en plus réduite par des accords économiques internationaux pour lesquels les citoyens n'ont été ni consultés, ni informés.

Tous ces traités élaborés ces cinq dernières années (GATT, OMC, AMI, NTM, NAFTA) visent un but unique: le transfert du pouvoir des états vers des organisations non-élues, au moyen d'un processus appelé "mondialisation".

 


Une suspension proclamée de la démocratie n'aurait pas manqué de provoquer une révolution. C'est pourquoi il a été décidé de maintenir une démocratie de façade, et de déplacer le pouvoir réel vers de nouveaux centres.

Les citoyens continuent à voter, mais leur vote a été vidé de tout contenu. Ils votent pour des responsables qui n'ont plus de pouvoir réel.

Et c'est bien parce qu'il n'y a plus rien à décider que les programmes politiques de "droite" et de "gauche" en sont venus à tant se ressembler dans tous les pays occidentaux.

Pour résumer, nous n'avons pas le choix du plat mais nous avons le choix de la sauce. Le plat s'appelle "nouvel esclavage", avec sauce de droite pimentée ou sauce de gauche aigre-douce.

 

Sity.net

 

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L
<br /> http://nemesistv.info/video/SSX5BO8H8DHG/esclavagisme-mondialisation-pouvez-vous-voir-la-cage#<br />
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L
<br /> http://www.youtube.com/watch?v=y-DcxcfMPqc<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Doc: The war on democraty vostfr<br />
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L
<br /> <br /> Ayrault appelle les Français à accepter la mondialisation<br /> <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> La France<br /> doit tirer parti de la mondialisation et encourager la prise de risque sans renier son modèle économique et social, qui doit être «renouvelé», estime le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, dans une tribune publiée jeudi par Le<br /> Monde. Ce long texte précise le cap du gouvernement, qui entame avec son premier conseil des ministres de l'année douze mois difficiles sur le plan économique avec une feuille de route pour<br /> les six mois à venir.<br /> <br /> <br /> «La France est à la croisée des chemins», écrit Jean-Marc Ayrault, qui souligne que le modèle politique, social et économique<br /> fondé depuis deux siècles est aujourd'hui fragilisé par les inégalités, la dette publique et le chômage. La montée des extrêmes dans les urnes et la défiance qui «paralyse nos relations<br /> sociales et politiques» obligent également la France à réinventer son modèle, sans rupture mais en refusant un prétendu «âge d'or», ajoute-t-il.<br /> <br /> <br /> «La mondialisation est l'occasion d'élargir la diffusion de nos produits»<br /> <br /> <br /> «La crise que nous traversons est d'abord économique et sociale. La tentation est grande d'en reporter la responsabilité sur<br /> autrui, d'accuser la libéralisation des échanges commerciaux et financiers, la concurrence des pays à bas coûts et les politiques conduites en Europe», poursuit le Premier ministre.<br /> <br /> <br /> Il s'agit là d'une charge contre l'extrême droite et le Front de gauche, qui utilisent souvent ces arguments, mais aussi d'une<br /> pique à l'encontre du ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, chantre de la «démondialisation». Certes, souligne Jean-Marc Ayrault, «il n'est pas question de nier les dangers<br /> du néolibéralisme et du capitalisme financier», qui doit être régulé avec l'adoption de règles sociales et fiscales communes à l'échelle européenne.<br /> <br /> <br /> «Mais n'oublions pas que la mondialisation est aussi l'occasion d'élargir la diffusion de nos produits, d'attirer des<br /> entreprises et des emplois et de bénéficier d'innovations venues d'ailleurs», ajoute-t-il.<br /> «La France, avec ses 120.000 entreprises exportatrices et sa créativité intacte, n'a aucun intérêt à se replier sur elle-même.»<br /> <br /> <br /> Source: 20minutes<br /> <br /> <br />
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