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NOTRE RÉGIME ALIMENTAIRE AFFECTERAIT L'ADN DE NOS PETITS-ENFANTS

Publié par Dav sur 1 Août 2012, 21:13pm

Catégories : #Société

 

Notre régime alimentaire affecterait l'ADN de nos petits-enfants

 

Des chercheurs viennent de révéler l'influence de notre alimentation sur nos gènes. Des changements qui seraient transmis de génération en génération.

"Dites moi ce que vous mangez je vous dirai qui vous êtes" pourrait bien devenir "Dites-moi qui vous êtes et je vous dirai ce que mangeait votre grand-père". Un article du site américain Livescience, relayé par CBSNews, relève deux études indépendantes portant sur l'épigénétique (changement des gènes lié à l'environnement) et le régime alimentaire -qu'il soit sain ou malsain: celui-ci modifierait la nature de votre ADN, ainsi que celui de vos descendants.

Souris et nutrition

Une première étude menée en 2010 sur des souris de l'Université Duke avait déjà montré à quel point la nutrition agit sur leur santé et leur physique. Pour mener ces recherches, les chercheurs avaient implanté les clones d'un même embryon de souris, dans le ventre de différentes femelles. Les chercheurs avaient ensuite soumis ces dernières à des régimes distincts. A la naissance des souriceaux, ils ont noté chez eux des contrastes quant à l'aspect de leur fourrure, leur poids et le risque de maladies chroniques.

S'appuyant sur ce travail, une plus récente étude, produite par l'Université de Groningen aux Pays-Bas, montre l'influence décisive du régime alimentaire des adultes sur l'intégralité de leurs cellules -y compris celles de leur sperme et de leurs ovules, répércutée sur celles de leurs futurs enfants.

L'histoire l'a montré

Livescience rappelle ainsi que durant la famine hollandaise, sous la Seconde Guerre mondiale, les enfants alors nés étaient davantage sujets à l'intolérance au glucose, ainsi qu'aux maladies cardiovasculaires, résultant de la sous-alimentation de la mère.

Mécanisme demeurant inexpliqué

Les deux équipes de scientifiques ont ainsi souligné combien la nutrition affecte de manière plus notable les foetus et les nourrissons. Demeure un ultime mystère à percer, celui du mécanisme de transmission de ces caractérisques génétiques liées à l'alimentation de génération en génération.

 

Un article de Audrey Parfait, publié par lexpress.fr

 

publi 3-4Vers un nouveau paradigme 2012 et apres

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L
<br /> http://www.youtube.com/watch?v=k9f149jWy0I&feature=em-uploademail<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Doc: nutrition  Piero San Giorgio et Corinne Gouget<br />
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L
<br /> Paris : un bébé meurt faute de place à la maternité Port-Royal<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Une maman a perdu, vendredi à Paris, l’enfant qu’elle portait. Elle et son compagnon mettent en cause la maternité Port-Royal, où l’accouchement devait être déclenché la<br /> veille.<br /> <br /> <br /> Ils sont « en miettes ». Ce qui devait être pour eux un heureux événement a tourné au drame. Hier, Stéphane, le jeune homme, se<br /> préparait à porter plainte contre la maternité Port-Royal, dans le XIVe arrondissement de Paris. Le bébé que sa femme attendait est mort in utero vendredi et le couple estime que l’établissement<br /> hospitalier est fautif.<br /> <br /> <br /> « Un bébé ne doit pas mourir à Paris en 2013 faute de place à l’hôpital », souffle Stéphane. Car c’est à cause d’un service débordé<br /> que Déborah, la jeune femme déjà maman, n’aurait pas pu accoucher à la date prévue. De son côté, la maternité, la plus grande de Paris, récemment rénovée, a annoncé une enquête interne « afin de<br /> comprendre ce qui s’est passé, voir si on est passé à côté de quelque chose » (lire ci-contre). Hier, Déborah, qui était toujours hospitalisée, a reçu la visite de Patrick Houssel, le directeur du<br /> groupe hospitalier.<br /> <br /> <br /> Le couple était attendu jeudi à 7 h à la maternité pour déclencher l’accouchement. Un rendez-vous programmé. Le col de l’utérus de la<br /> jeune femme était diagnostiqué par les médecins « dilaté, modifié et favorable ». Déborah n’avait pas perdu les eaux. Mais sa grossesse était considérée « à risques » avec crainte d’un accouchement<br /> précoce. « Le rendez-vous avait déjà été reporté, explique Stéphane, son compagnon, pompier. J’ai donc téléphoné avant de partir. On nous a demandé de ne pas venir tout de suite et d’attendre 11 h.<br /> Et à 11 h, il n’y avait plus de chambre disponible. »<br /> <br /> <br /> Pourtant le couple affirme avoir alerté la maternité. « Nous étions déjà venus aux urgences la semaine précédente. Ma femme leur avait<br /> dit que le bébé ne bougeait pas beaucoup. Et elle avait mal au côté gauche ».<br /> <br /> <br /> Finalement, en insistant au téléphone avec le médecin de garde, le couple est dirigé plusieurs heures plus tard aux urgences de<br /> Port-Royal, « pour un monitoring, prendre la tension, examiner le col ». « Une sage-femme débordée qui courait de box en box est venue vers nous pour nous dire de rentrer chez nous. Pour elle, il<br /> n’y avait pas d’urgence. »<br /> <br /> <br /> Comprenant que l’hôpital est saturé mais craignant une souffrance fœtale, les parents insistent et demandent à ce que la maman soit<br /> transférée vers une autre maternité parisienne. « L’idée a été balayée. Ils n’avaient pas le temps », assure Stéphane. Le couple repart en voiture. « Nous n’étions même pas à 500 m de l’hôpital que<br /> le portable sonne avec la sage-femme au bout du fil : Je n’ai pas eu le temps de vous demander si le bébé bougeait bien. Ma femme lui répond : Il ne bouge que quand je le stimule. Cet appel n’a<br /> fait qu’augmenter notre inquiétude. »<br /> <br /> <br /> Dans la nuit de jeudi à vendredi, Déborah réveille son mari : « Elle ne se sentait pas bien. Elle m’a dit que le bébé ne bougeait<br /> plus. On a foncé à l’hôpital, aux urgences. Ils ont fait les examens et le couperet est tombé. Le monitoring n’affichait aucun mouvement. Le médecin nous a annoncé qu’il n’y avait plus d’activité<br /> cardiaque, que notre bébé était mort in utero. » A midi, vendredi, l’équipe médicale a déclenché l’accouchement de Déborah. « On voulait une césarienne pour ne pas en rajouter au drame, mais ils<br /> ont dit que ce n’était pas possible », raconte encore le père. La famille a demandé une autopsie.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Source : Le Parisien<br />
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L
<br /> La Recette de la tarte aux cerises industrielle (supermarchés). Bon appétit !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Voici, la liste des produits chimiques utilisés pour la fabrication d'une tarte aux cerises de supermarché, depuis le champ de blé jusqu'à l'usine agro-alimentaire. Bon appétit<br /> !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Pour obtenir la farine, les grains de blé ont été enrobés d'un fongicide avant semis.<br /> <br /> Pendant sa culture, le blé a reçu de selon 2 à 6 traitements de<br /> pesticides les années, 1 traitement aux hormones pour raccourcir les tiges afin d'éviter la verse et 1 dose importante d'engrais: 240 kg d'azote, 100 kg de phosphore et 100 kg de potassium à<br /> l'hectare, tout de même !<br /> <br /> Le blé moissonné, dans le silo, après récolte, les grains sont fumigés<br /> au tétrachlorure de carbone et au bisulfide de carbone, puis arrosés au chlopyriphosméthyl.<br /> <br /> Pour la mouture, la farine reçoit du chlorure de nitrosyl, puis de<br /> l'acide ascorbique, de la farine de fève, du gluten et de l'amylase.<br /> <br /> Ensuite, il faut faire lever la pâte. La poudre levante est traitée au<br /> silicate de calcium et l'amidon est blanchi au permanganate de potassium.<br /> <br /> Pas de pâte sans corps gras. Ceux-ci reçoivent un antioxydant (pour<br /> éviter le rancissement) comme l'hydroxytoluène de butyl et un émulsifiant type lécithine.<br /> <br /> Histoire de la<br /> Crème <br /> <br /> La crème sur laquelle vont reposer les cerises se fait avec des oeufs,<br /> du lait, et même de l'huile.<br /> <br /> * Les oeufs proviennent d'un élevage industriel où les poules sont nourries avec des granulés contenant des :<br /> <br /> - antioxydants (E300 à E311),<br /> <br /> - arômes,<br /> <br /> - émulsifiants: alginate de calcium,<br /> <br /> - conservateurs : acide formique,<br /> <br /> - colorants : capsanthéine,<br /> <br /> - agents liants: lignosulfate<br /> <br /> - et enfin des appétants : glutamate de sodium, pour qu'elles puissent<br /> avaler tout ça.<br />
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S
<br /> Bonjour,<br /> <br /> <br /> je ne suis pas scientifique mais je sais que de ma propre logique il est naturel de penser que l'alimentation de nos pères et "ancêtres" à un impact sur nos morphologies et ainsi de suite...<br />
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S
<br /> Voilà une information capitale qui malheureusement date déjà de plusieurs dizaine d'année.<br /> <br /> <br /> Et depuis les chercheurs font mine de chercher ! ! ! !<br /> <br /> <br /> De la même façon "on" découvrira que les rayonnements "atomiques" modifient la chaîne génétique et que les "résultats " ne sont très visibles qu'a la deuxième génération .<br /> <br /> <br />  <br />
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