Je vous propose ici les deux dernières analyses d’Eagleeyes qui sont alarmistes, soit, mais qui se doivent d’être prises en compte! Merci donc à lui pour ces informations capitales qui nous aident à mieux comprendre ce qu’il se passe et ce que nous risquons de connaître dans l’avenir. Quand au rapport entre les séismes et cette bactérie qui pourrait être responsable de l’hécatombe d’animaux à travers la planète: les tréfonds de la planète nous annoncent clairement le programme, à nous d’en tenir compte!
Le calme avant la tempête disait-on!
L’Italie en fait vraisemblablement les frais, tout a démarrer à 23:13 UTC ce samedi avec un séisme prémonitoire de 4,0/ER et à 5km de profondeur. Toutefois il n’est pas possible de dire sur le champ qu’il s’agisse de type de séisme, ce n’est qu’après le fort séisme, qu’il nous est permis de l’identifier comme tel. Ceci dit, ce n’est qu’à près de 3 heures après, soit à 02:03 que survient la première secousse, elle est de 6,1 à 10km de profondeur, suivie de 8 répliques, puis une seconde forte de 5,2 une heure après, mais qu’à 2km de profondeur cette fois. S’en suit une série de répliques d’une moyenne de 3,0 quasi toutes situées en moyenne à 10 km, jusqu’à une forte de 4,5 qu’à 2km à 09:13 UTC, suivie d’une seconde une heure après, de 4,5 mais à 10km.
La similitude avec le séisme du 6 mai 1976, est de mise. Et pour cause, tout a débuté de la même manière, une secousse prémonitoire de 4,5 suivie quelques heures après d’une forte de 6,4. Elle fit des milliers de victimes et une centaine de blessés, et laisse 45 000 personnes sans toit. Les répliques ont duré plusieurs mois dont 2 très importantes les 11 et 15 septembre.
Au vu des profondeurs moyennes de ce séismes et de ces répliques, sans parler des séismes de ces derniers temps de par l’ensemble de l’Europe, cela confirme ce que je disais, l’activité sismique est concentrée essentiellement dans ces profondeurs que ce soit en Pologne, en République Tchèque, en Bulgarie, Hongrie, en Allemagne ou en France, c’est du pareil au même. Si ça traduit un mouvement d’une strate entre deux, on peut craindre un accroissement des séismes (ce qui s’observe) mais et là ça devient plus alarmant, un développement de l’activité volcanique sur de nouveaux sites dont la situation serait purement aléatoire.
Je ne pense pas qu’un lieu anciennement volcanique puisse être tenu en compte sinon que par le hasard de la coïncidence d’un point chaud avec un tissus de fissures favorable au passage du matériel magmatique. Celui-ci devrait être extrêmement fluide pour ce faire. Néanmoins j’émets des réserves pour trois régions, le Massif Central (Puys), les Vosges, le Laacher See (Allemagne).
Par contre au niveau des séismes, il est de bon ton de dire qu’aucune région ne peut être épargnée, de par ce mouvement, elles deviennent toutes susceptibles de connaître un séisme dans les décennies à venir, dire quand, c’est impossible, demain, dans trois mois, dix ans, trente ans, impossible. Mais là, on peut développé l’étude et peut-être le prédire, c’est en relevant les taux de « RADON ». Et oui ce gaz à tendance à s’échapper du sol en grande concentration quelques jours à quelques heures avant un fort séisme. Ce fut le cas à l’Aquila, trois jours avant le terrible tremblement de terre de l’Aquila, il a été détecté dans des concentrations au delà du seuil de sécurité. D’ailleurs une polémique s’est déclarée au sein des experts eux-même, G. Bertolaso à déclaré à G.
Giuliani, je cite « il est impossible de prévoir quoi que ce soit » alors que ce dernier, suite à ses relevés de radon, avait alarmé les autorités locales, trois jours avant. Plus tard, les instances scientifiques ont été accusée de n’avoir pas tenu compte de l’avis de Mr Giuliani.
Qu’est le « radon », c’est un gaz rare, peu étudié de par sa radioactivité qui est naturelle et élevée, il est de plus inodore et incolore. Le seul moyen de le détecter est de par sa radio activité. Les concentrations spontanées se situent principalement dans les régions granitiques, et volcaniques, mais certaines études récentes, on démontrés qu’il est bien plus présent que supposé initialement. En France les concentrations les plus significatives se situent en Bretagne, les Vosges, le Massif Central et la Corse. Le reste des régions serait (!!) moins chargées en Rn, mais des études récentes montre que la cartographie de sa présence, n’est pas exacte.
En règle générale le Rn se dissipe au contact de l’air à hauteur d’un mètre du sol, si une construction est située sur une concentration, les personnes y habitant on un risque potentiel de développer des cancers de par une exposition prolongée (par inhalation) et par une consommation d’eau provenant du sous-sol. La pièce où la concentration sera maximale est la cave. C’est pour cela qu’il est recommandé de disposer d’un vide ventilé sous la bâtisse et privilégier l’eau de distribution. L’instrument le plus approprié pour le détecter, est le compteur Geiger. Le taux moyen de Rn dans le Massif Central serait de 20Bq/m3 d’air, tandis qu’on avoisine les 800 à 1000 Bq/m3 d’air avant un séisme, alors que le seuil autorisé n’est que de 200 à 400 suivant les pays.
Découverte d’une nouvelle espèce de micro-algue
La nouvelle n’est pas de première fraîcheur, 01/08/2011, mais elle peut susciter bien des questionnements, tant pour l’humain que pour la faune de nos océan, je pense aux mort de volatils marins en masse. Elle fut pour la première fois, observée par les chercheurs de l’Institut Espagnol d’Océanographie dans les Iles Canaries. Elle est responsable de la CIGUATERA, ses symptômes sont communs à différents troubles, y compris des douleurs abdominales, diarrhées, vomissements et une fatigue extrême. Deux autres sont plus spécifiques, une inversion à la température de ce que l’on touche, et une sensation de picotement aux lèvres et la langue.
La source de la contamination est essentiellement le poisson sans l’affecter lui-même et résistant, tant à la cuisson qu’à la congélation. Elle est insipide et inodore.
Où peut-on la retrouver, elle est clairement identifiée principalement dans la Partie tropicale du Pacifique, les Caraïbes, l’océan Indien et quelques cas dans les Canaries.
Une recherche un peu plus approfondie sur la micro-algue Gambierdiscus excentricus. C’est une algue unicellulaire qui vit à l’instar du gui, accrochée aux substrats macroalgaux qui colonisent les coraux morts et elle a la faculté de synthétiser deux familles de toxines dont la ciguatoxine. Cette dernière se bio-accumule dans les poissons herbivores et ensuite les carnivores selon la chaîne alimentaire, l’homme étant à l’extrémité, s’intoxique à la consommation de ces poissons.
Ce micro-organisme est appelé « benthique », c’est à dire qui vit dans dans le fond de l’océan soit dans les grandes profondeurs et non pas à proximité des rivages. Un facteur primordial intervient dans la toxicité de ciguatoxine, c’est la température.
Sachant que la Gambierdiscus vivant à grande profondeur et que la toxine qu’elle renferme augmente en toxicité avec la température, il devient plus que probable que la mortalité de masse des volatiles marins, voire de certains poissons, soit la conséquence d’une intoxication due à cette toxine. Ce qui expliquerait une certaine sélectivité dans les espèces.
D’autre part, les fonds océaniques étant chahutés tout au tour du Pacifique, par des évènements à la fois sismiques mais aussi et surtout volcaniques, il n’est dès lors pas à exclure cet aspect dans le développement de cette toxicité. Lors de ces remous très importants comme à la suite de tempêtes ou de mouvements violents dans les fonds marins, on assiste à une augmentation d’intoxication chez les animaux et l’homme. Cela signifie bien qu’un élément contribue aussi à cette augmentation de la toxicité.
La ciguatoxine peut provoquer des troubles gastro-intestinaux et neurologique et chocs mais rarement la mort. La symptomatologie se traduit par la diarrhée, crampes abdominales, sueur, frissons, douleurs musculaires et articulaires, une perception erronée du chaud et du froid, fourmillements et/ou engourdissement buccaux, et brouillage visuel, voire cécité temporaire. Les symptômes neurologiques peuvent perdurer des semaines voire des mois.
Enfin et pour terminer, la ciguatoxine ne peut être décelée ni par une odeur ni par la saveur. De plus elle n’est pas détruite lors de la congélation des poissons contaminés, ni par la cuisson et là ce peut être l’inverse, elle risque d’augmenter d’avantage au fur et à mesure que l’eau s’évapore du poisson, déjà que plus il est gros plus la concentration y est plus importante. La seule précaution requise, est de ne pas manger de poissons dans ces contrées.
http://lesmoutonsenrages.fr/2012/05/21/les-trefonds-de-la-planete-nous-annoncent-le-programme/
"Vers un nouveau paradigmer"
2012 et aprés