Le Nouveau Paradigme

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Les "tours d'abandon" du Moyen âge refont surface avec les "boites à bébé"!

Publié par Dav sur 12 Juin 2012, 09:50am

Catégories : #Société

En Europe, les "boîtes à bébés" se multiplient

 

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On les trouve à l'entrée des hôpitaux, sur le parvis des mairies, à proximité des églises ou dans des rues très fréquentées. De loin, elles ressemblent à de larges coffre-forts vitrés, souvent peints en jaune vif. A l'intérieur, un lit autochauffant, une caméra, et un signal d'alarme relié au centre de soins le plus proche. Sur la porte, un mode d'emploi rudimentaire indique comment ouvrir le coffre, y déposer son bébé, puis le refermer.

 

Au Moyen-Age, on les appelait les "tours d'abandon". Aujourd'hui, les "boîtes à bébé". Destinées aux parents en détresse qui veulent abandonner leur nouveau-né dans l'anonymat absolu, ces boîtes se multiplient en Europe, à tel point que les Nations unies tirent la sonnette d'alarme.

 

 

ONZE PAYS EUROPÉENS CONCERNÉS

 

Le système avait pourtant disparu depuis plus d'un siècle en Europe. Mais la médiatisation de faits divers glaçants, comme l'abandon de nouveaux-nés dans des poubelles, a remis au goût du jour cette pratique qui semblait d'un autre temps. L'Allemagne a été la première à réintroduire le mécanisme en avril 2000. Depuis, dix autres pays européens l'ont adopté, comme l'Italie, la Suisse ou encore la Pologne. Aujourd'hui, plusieurs centaines de "boîtes à bébé" sont installées sur le Vieux continent.

 

Le fonctionnement est simple. Dans la plupart des pays qui utilisent ce système, le parent qui abandonne anonymement son enfant dans une de ces "boîtes" a huit semaines pour revenir sur sa décision. Les services hospitaliers vérifient son identité grâce aux empreintes digitales prélevées sur le nouveau-né au moment où il est récupéré. Passé ce délai, une procédure d'adoption classique est enclenchée, tandis que l'Etat devient légalement responsable de l'enfant.

 

 

VIOLATION DU DROIT D'UN ENFANT DE CONNAÎTRE SES PARENTS

 

S'il semble progressivement être entré dans les mœurs, un tel système n'en est pas moins controversé, tant au point de vue éthique que légal. Les défenseurs de cette pratique sont souvent les mêmes qui militent contre l'avortement. Différents groupes religieux ou partis politiques de droite affirment ainsi que le dispositif "protège le droit d'un enfant à la vie" et sauve "des centaines de nourrissons". Depuis 2000, près de 400 enfants auraient été ainsi abandonnés.

Mais les Nations unies ont exprimé à plusieurs reprises leur inquiétude grandissante sur le système, car il viole le droit fondamental d'un enfant de connaître ses parents. Le comité chargé de contrôler l'application de la Convention internationale des droits de l'enfant estime en effet que ces "boîtes à bébés" vont "à l'encontre du droit de l'enfant à ce que son ou ses parents le connaissent et s'occupent de lui".

 

La Convention relative aux droits de l'enfant précise en effet que tout enfant a "dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents et d'être élevé par eux". En outre, elle stipule que "si un enfant est illégalement privé des éléments constitutifs de son identité ou de certains d'entre eux, les Etats parties doivent lui accorder une assistance et une protection appropriées, pour que son identité soit rétablie aussi rapidement que possible". Or les bébés récupérés grâce à ces "boîtes" ne peuvent avoir accès, une fois adultes, à l'identité de leurs parents.

 

Dans les faits, le système soulève également de nombreuses interrogations. Un chercheur de l'université de Nottingham, Kevin Browne, a étudié pendant deux ans le phénomène. Cité par Le Guardian, il affirme que "ce sont fréquemment des hommes ou des proches qui abandonnent l'enfant, ce qui pose des questions sur la situation de la mère, et sur son consentement à cet abandon". Le caractère anonyme de l'abandon empêche également le déclenchement de tout accompagnement du parent, et annihile toute "chance pour l'enfant d'être élevé par d'autres membres de sa famille".

 

 

LÉGISLATIONS DIVERSES

 

Dans la plupart des pays européens qui les ont mises en place, les "boîtes à bébé" viennent pallier une absence ou un flou de la législation sur le droit d'abandonner un enfant, voire sur le droit à l'avortement. Presque toujours illégal, l'abandon d'enfant n'en est pas moins une réalité avec laquelle les Etats doivent composer.

 

En France, la question ne se pose pas. Une femme a en effet le droit "d'accoucher sous X", ce qui lui permet d'abandonner son bébé juste après l'accouchement. L'enfant ainsi né, lorsqu'il atteint "l'âge de discernement" et avec "l'accord de ses représentants légaux", peut avoir accès aux informations laissées par ses parents à la naissance. Mais le système ne fait pas non plus l'unanimité, et nombreux sont ceux qui réclament sa suppression.

 

Charlotte Chabas

Le monde.fr

publi 3-4Vers un nouveau paradigme

2012 et aprés

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C
<br /> C'est bisarre mais il est un sujet énorme qui passe à la trappe.<br /> <br /> <br /> J'ai accouché il y a moins d'un an, et en laissant traîner mes oreilles dans un hôpital public, j'ai appris par un "infirmier" parlant à un collègue, que malgrès la hausse des naissances dans le<br /> monde, il y avait de plus en plus de bébés morts (et non embryons) ou de bébés naissant sous-développés handicapés malformés ou diminués, et de parents dont l'un ou les deux ont de gros problèmes<br /> de fertilités. Il y a toujours de plus en plus de naissances parce que les gens s'aident font de moins attention aux grossesses et s'aident de plus en plus de la science. Mais c'est un leurre, ça<br /> ne va durer qu'un temps. Et après? C'est quand qu'on va où ?<br />
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L
<br /> http://www.wikistrike.com/article-super-solde-50-de-rabais-pour-un-avortement-le-dimanche-un-coupon-par-cliente-119492222.html<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> ..et pourquoi pas -50% sur le deuxième tant qu'ils y sont !!  <br />
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L
<br /> Le premier bain d'un bébé<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> par Hélios   <br /> <br /> <br /> Source: bistrobarblog<br /> <br />
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K
<br /> Comme toujours, des informations très pertinentes et des commentaires qui ne le sont pas moins.<br /> <br /> <br /> J'apporte néanmoins mon grain de sable en me disant que vu l'état des ressources naturelles de la terre, de la qualité de l'air et de l'eau, de l'explosion démographique qui est en cours et qui<br /> va de façon exponentielle, de la dégradation du marché du travail et de la situation sociale, un seul commentaire me vient :<br /> <br /> <br /> Si vous aimez les enfants, n'en faites pas.<br /> <br /> <br />  <br />
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L
<br /> <br /> Les bébés apprennent à parler avant même de naitre<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Selon une étude américano-suédoise, les bébés commenceraient à se familiariser avec leur langue avant même qu'ils naissent. Pour cela, les fœtus se mettraient à écouter leur mère<br /> dès la 30e semaine de grossesse.<br /> <br /> <br /> Vous voulez que votre futur enfant<br /> parle un anglais impeccable ? Alors commencez à lui apprendre avant même qu'il soit né ! En effet, s'il a été démontré que les bébés comprenaient dès l'âge de 6 mois les mots qu'on leur<br /> adresse, l'apprentissage de la langue commencerait bien avant. C'est ce que suggère une étude menée en parallèle par des chercheurs suédois et américains et publiée dans la revueActa Paediatrica.<br /> <br /> <br /> Selon celle-ci, les bébés seraient capables de distinguer bien avant cela les mots étrangers de ceux appartenant à<br /> leur langue maternelle, et pour cause : l'apprentissage de leur langue démarrerait dans le ventre de leur mère. Pour arriver à une telle conclusion, les chercheurs de l'université de Washington<br /> et ceux de l'université de Tacoma ont observé, chacun dans leur pays, 40 bébés filles et garçons entre 7 et 75 heures après leur naissance.<br /> <br /> <br /> Plus précisément, ils ont étudié ces jeunes sujets en se servant d'un système de mesure pour le moins inattendu :<br /> ils ont connecté les tétines des bébés à un ordinateur qui a mesuré les mouvements et les durées de succion. En effet, il a déjà été observé que les<br /> nourrissons avant tendance à sucer plus rapidement leur tétine quand ils entendaient des sons étrangers plutôt que des sons familiers avec lesquels ils étaient plus calmes.<br /> <br /> <br /> Le fœtus écoute sa mère dans les dernières semaines de<br /> grossesse<br /> <br /> <br /> Au cours de l'expérience, les 40 bébés ont ainsi été divisés en deux<br /> groupes. Les premiers se sont vu passer des voyelles dans leur langue maternelle tandis que les seconds ont écouté des voyelles en langue étrangère, suédois ou américain en fonction des sujets.<br /> Les chercheurs suédois comme américains ont alors constaté que les sujets écoutant la langue étrangère avaient quel que soit leur âge, tous tendance à téter plus intensément que les autres. Un<br /> signe selon eux qu'ils distinguent déjà leur langue maternelle d'une étrangère.<br /> <br /> <br /> En vérité, tout commencerait dès la 30e semaine de grossesse lorsque le système auditif du fœtus devient fonctionnel. Grâce à cela, le futur bébé commence à entendre des sons venant du milieu environnant qui sont ensuite interprétés par son cerveau. Durant les dix dernières semaines de<br /> grossesse, le foetus entend ainsi sa mère parler et se familiarise avec sa langue. Une fois né, il parvient alors à distinguer ce qu'il connait déjà de ce qui lui<br /> est étranger.<br /> <br /> <br /> "Nous savons déjà que nous commençons à apprendre les sons in utero en<br /> écoutant la voix de notre mère. Mais il s'agit de la première étude montrant que nous avons conscience des sons spécifiques de notre langue maternelle avant de naître", explique ainsi le<br /> Dr Christine Moon, directrice de l’étude.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Source: Maxisciences<br /> <br />
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L
<br /> http://www.youtube.com/watch?v=VPsdeqlv_eo<br /> <br /> <br /> Naissances d'ici et d'ailleurs !! <br />
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L
<br /> http://www.lessentiel.lu/fr/lifestyle/tendances/story/Papa-poule-permet-a-bebe-de-mieux-grandir-24560297<br /> <br /> <br /> Des interactions positives père-bébé dès l’âge de trois mois permettent de réduire les problèmes de comportement du nourrisson à l’âge d’un an, et a fortiori par la suite, selon une étude<br /> britannique.<br /> <br /> <br /> Avoir des contacts précoces avec son père permet<br /> au bébé d’avoir moins de troubles du comportement. (DR)<br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> C’est la première fois qu’un tel impact est démontré chez des enfants aussi jeunes, relève l’étude réalisée par des chercheurs de l’Université d’Oxford et publiée par la revue Journal of<br /> Child Psychology and Psychiatry. «Nous avons découvert que les enfants dont les pères avaient davantage de contacts avaient de meilleurs résultats, avec par la suite moins de problèmes<br /> de comportement chez leurs enfants. À l’inverse les troubles du comportement étaient plus nombreux lorsque les pères étaient plus distants, perdus dans leurs pensées ou avaient moins de<br /> contacts», explique le Dr Paul Ramchandani, qui a dirigé l’étude.<br /> <br /> <br /> 192 familles recrutées dans deux maternités britanniques ont été vues à deux reprises, l’une lorsque le bébé avait trois mois et la seconde à un an. Les chercheurs ont classé le comportement<br /> problématique des nourrissons en trois sous-groupes : oppositionnel, agressif et hyperactif. L’étude a également montré que l’impact du père était plus important chez les garçons que chez les<br /> filles «ce qui pourrait laisser entendre que les garçons sont plus susceptibles d’être influencés par leur père dès leur plus jeune âge», ajoute le Dr Ramchandani.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> L’interaction avec les parents a des conséquences<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Le chercheur se montre toutefois prudent, relevant que le mécanisme reste inexpliqué. Le désengagement du père pourrait ainsi être le résultat d’une relation de couple perturbée avec la mère<br /> de l’enfant ou refléter un manque général de supervision ou de soins, auquel l’enfant réagirait par un comportement perturbé.<br /> <br /> <br /> La plupart des études faites jusqu’à présent s’intéressaient surtout au rôle des mères au cours de la très petite enfance. «Nos recherches apportent une nouvelle pierre à un faisceau<br /> grandissant de preuves suggérant qu’une intervention précoce auprès des parents peut avoir un impact positif sur le développement de l’enfant», conclut le chercheur.<br /> <br /> <br />
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L
<br /> Les hôpitaux britanniques laissent des patients mourir pour économiser de l’argent<br /> <br /> <br /> J’ai vu cet article en lien sur le blog de Pierre Jovanovic, et cela m’a choqué. Comme vous le savez, les Britanniques ont choisi de<br /> faire la part belle à la finance et au capital. Regardez le résultat, ils sont bien avancés, et ce n’est qu’un exemple… (informations complémentaires).<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Des dizaines de milliers de patients atteints de maladies incurables sont placés sur une « voie de la mort » pour les aider à mourir chaque année. Cependant, <br /> dans une lettre au Daily Telegraph, six médecins mettent en garde que les hôpitaux peuvent utiliser le projet controversé de réduire les accords sur les ressources<br /> hospitalières.<br /> <br /> <br /> Les partisans de l’accès aux soins de Liverpool, qui permet au personnel médical de cacher des fluides et des drogues dans les derniers jours d’un patient, affirment que c’est la meilleure façon<br /> de les laisser partir. Mais les experts disent dans leur lettre que les décès naturels sont souvent plus libres de douleur et de détresse.<br /> <br /> <br /> Le consentement éclairé n’est pas toujours recherché par les médecins, qui ne parviennent pas à demander aux patients leurs souhaits pendant qu’ils ont encore le contrôle de leurs facultés, ont<br /> averti les six médecins. Cela a conduit à une augmentation de patients portant des cartes qui informent les médecins qu’ils ne souhaitent pas être mis sur « la voie » dans les derniers jours de<br /> leur vie.<br /> <br /> <br /> Les six médecins sont des experts en matière de soins aux personnes âgées et ils on écrit la lettre en collaboration avec le « Medical Alliance Ethique », une organisation chrétienne médicale.<br /> Ils disent que de nombreux membres du public les ont contacté avec des exemples de l’utilisation inappropriée de « la voie », qui est mise en œuvre dans près de 29 pour cent des décès en milieu<br /> hospitalier.<br /> <br /> <br /> « Il avertissent qu’il n’y a pas « de manière scientifique » de diagnostiquer une mort imminente ». Ils écrivent : « Il s’agit essentiellement d’une prédiction, et il est possible que d’autres<br /> considérations puissent entrer en ligne de compte pour en arriver à cette décision, sans exclure la disponibilité des ressources. »<br /> <br /> <br /> Le parcours de soins de Liverpool, est ainsi appelé parce qu’il a été développé à l’Hôpital Royal de Liverpool dans les années 1990. Il vise à s’assurer que les patients qui sont proches de la<br /> mort peuvent mourir sans être soumis à des entraves inutiles par le personnel. En outre du retrait des liquides et des médicaments, les patients peuvent être placés sous sédation jusqu’à ce<br /> qu’ils meurent.<br /> <br /> <br /> Le Dr Gillian Craig, un gériatre à la retraite et ancien vice-président de l’Alliance de l’éthique médicale, est l’un des six signataires de la<br /> lettre au Daily Telegraph.<br /> <br /> <br /> « Si vous êtes cynique à ce sujet, comme je le suis, vous pouvez le voir comme une mesure de réduction des coûts, si vous ne voulez pas que vos lits soit remplis avec des personnes âgées»,<br /> dit-elle. Elle a indiqué que ceux qui ne veulent pas être mis sur « la voie » devraient porter des cartes faites par le Dr Rosalind Bearcroft, un<br /> psychiatre consultant de Kent, et un autre signataire.<br /> <br /> <br /> L’année dernière, le Daily Telegraph a rapporté que le nombres des personnes étant mises sur « la voie » avait doublé en seulement deux ans, avec des dizaines de milliers de patients qui y<br /> participent maintenant. Le rapport par le Collège royal des médecins a trouvé que jusqu’à la moitié des familles ne sont pas informées de la décision des cliniciens de mettre un parent sur « la<br /> voie ». Les partisans soulignent que le parcours de soins à Liverpool a été approuvé par l’Institut national de la santé et l’excellence clinique (Nice) qui est soutenu par le ministère de la<br /> Santé.<br /> <br /> <br /> Un porte-parole du ministère de la Santé a déclaré : « Les gens qui arrivent à la fin de leur vie devraient avoir un droit de haute qualité, de compassion et de dignité. »<br /> <br /> <br /> « Le Liverpool Soins Pathway (LCP) n’est pas là pour faire des économies. Il est un outil établi et respecté qui est recommandé par le NICE et il a l’appui massif des cliniciens en<br /> Grande-Bretagne et à l’étranger »<br /> <br /> <br /> « La décision d’utiliser « la voie » devrait associer les patients et les membres de la famille, et l’état du patient doit être étroitement surveillé. Si, comme cela arrive parfois, l’état d’un<br /> patient s’améliore, il doit être retiré de la LCP et il doit avoir le traitement qui convient le mieux à ses nouveaux besoins. Pour s’assurer que la LCP est utilisée correctement, il est<br /> important que le personnel reçoive la formation et le soutien appropriés. »<br /> <br /> <br /> Telegraph.co.uk, Blog de<br /> l’Apocalypse<br /> <br /> <br /> Traduction : Folamour, Reproduction libre à condition de citer la source et la source de la traduction.<br /> <br /> <br /> Krashdebug                                                                                                      ......en<br /> Françe AUSSI  !!                    <br />
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F
<br /> Bonjour,<br /> <br /> <br /> Pour l'instant la perfection n'est pas de ce monde. Nous parlons ici de drames qui sont bien étrangers au confort de nombre d'entre nous. La contraception, éventuellement l'IVG... ne sont<br /> pas encore hélas une évidence pour tous. Le pire étant le meurtre, la maltraitance ou la poubelle, ce caisson laisse au moins une chance à la vie.<br />
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C
<br /> Je suis très choquée d'apprendre l'existence de cela et qu'on en soit à accepter et à légaliser  "l'installation" de pareils systèmes! Il y a un risque de créer dans<br /> l'esprit ,une sorte de "permissivité" , presque une " invitation":" Ne craignez rien tout est sécurisé... allez y !"  Cela me parait très dangereux! de plus, nous sommes<br />  à une époque où la contraception est connue, accessible et pratiquée partout  en Europe.... ! le problème d'abandon ne peut être que très exceptionnel et ne devrait<br /> pas être anonyme! S'il doit y avoir une "institution" pour cela, qu'elle soit officielle, sécurisée pour l'enfant et sa mère,et réalisée dans un cadre d'aide psychologique, afin de<br /> pouvoir être assumée le mieux possible par la mère, et que ce ne soit pas vécu comme un acte qu'on masque (qui laisse toujours la honte et la<br /> culpabilité) et puisse laisser des portes ouvertes au futur !!Sans cela on en est toujours au Moyen Age!!!<br />
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F
<br /> oui, un drôle de monde...pourtant malgré tout, je n'arrive pas à trouver que les humains sont pires; au contraire!<br />
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D
<br /> <br /> Ils se révèlent à eux même et font des choix!<br /> <br /> <br /> <br />
F
<br /> bon ben moi je suis pour l'avortement (faut pas tout mélanger non plus), mais je trouve moins choquant de trouver un bébé dans une boîte surveillée que dans une poubelle..le droit de connaître<br /> ses parents? heu, oui, évidemment, mais le droit d'avoir une chance de vivre dans un foyer paisible, c'est important aussi non?<br />
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D
<br /> <br /> Oui tout est relatif! un drole de monde quand même non<br /> <br /> <br /> <br />

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