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Le moratoire sur la déforestation en Indonésie? Un échec!

Publié par Dav sur 4 Mai 2012, 06:21am

Catégories : #Environnement

 

© afp.

Le moratoire de deux ans des permis de défrichement, annoncé en fanfare en 2011 par l'Indonésie, n'est pas respecté et la destruction des vastes forêts équatoriales du pays se poursuit, a accusé jeudi une coalition d'ONG emmenée par Greenpeace.

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"Le moratoire n'a pas réussi à faire cesser l'attribution de nouveaux permis. Les gouvernements locaux ne se sentent pas responsables ou ne comprennent pas ce qu'ils devraient faire, continuant ainsi à attribuer des permis. Cela constitue une violation (du moratoire) mais aucune action n'est prise pour le faire appliquer", a déclaré à Jakarta Deddy Ratih, de l'ONG "Friends of the Earth Indonesia".

Le moratoire avait été annoncé en mai 2011 par le président indonésien Susilo Bambang Yudhoyono comme un moyen de respecter ses engagements très ambitieux de réduire les émissions de gaz à effet de serre de l'Indonésie d'au moins 26% d'ici à 2020.

Le gel des coupes avait été mis en oeuvre dans le cadre d'un accord conclu avec la Norvège, qui s'est engagée à consacrer jusqu'à un milliard de dollars à un programme soutenu par l'Onu et baptisé REDD+ (Réduction des émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts).

Emissions de CO2 énormes
Selon les Nations unies, la déforestation représente 70% des émissions de gaz à effet de serre de l'Indonésie, 18e économie mondiale mais troisième émetteur de CO2. L'immense archipel de 240 millions d'habitants possède le troisième bassin de forêts équatoriales dans le monde, après le Brésil et la République démocratique du Congo.

Les surfaces boisées se sont très fortement réduites ces dernières décennies, notamment pour la production de papier ou d'huile de palme. L'actuel moratoire laisse "près de la moitié des forêts primaires et des tourbières sans aucune protection", regrette Greenpeace, à la tête d'une coalition de douze ONG au total.

"Le gouvernement se préoccupe plus de faire des affaires plutôt que de protéger les communautés victimes des dégâts sociaux et environnementaux provoqués par des sociétés comme APRIL ou APP", deux multinationales de pâtes à papier, a jugé le coordinateur de l'ONG Jikalahari, qui ne répond qu'au seul nom de Muslim.

 

© epa.

 

édité par:Caroline Albert
3/05/12 - 11h26 Source: afp.com

 

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L
<br /> ONU et Banque mondiale: Un prêt contre une Réduction de la Population! (+document officiels)<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Selon deux documents publiés par la<br /> Banque mondiale, ses lignes directrices exigent que dans le but de se qualifier pour des prêts de la Banque mondiale, les nations souveraines doivent mettre en œuvre des objectifs de réduction de<br /> la population tel que défini par la Banque mondiale et Fonds des Nations Unies. S’ils refusent, les prêts seront retirés.<br /> <br /> <br /> Déjà pré-testés et mis en œuvre au<br /> Yémen et au Niger, ces lignes directrices sont destinées à la mise en œuvre globale au sein de la prochaine décennie, dit la Banque mondiale.<br /> <br /> <br /> Dans son plan d’action « santé et<br /> reproduction 2010-2015″, la Banque mondiale à publié en Avril 2010, ses l’Objectif du Millénaire de développement 5 (ou OMD 5), qui signifie «santé<br /> reproductive» (ouRH).<br /> <br /> <br /> Dans son rapport de 2010, la Banque<br /> mondiale , choisit d’utiliser la phrase «santé reproductive» en permanence. La Banque, tout comme l’ONU, se drape dans la langue de bois, de façon à ne pas éveiller les soupçons.<br /> <br /> <br /> Klaus Töpfer ancien directeur<br /> exécutif du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), participants à la réunion Bilderberg en 1996. A admis en 2000 un «consensus international» sur le contrôle de la population<br /> dans le monde entier.<br /> <br /> <br /> La Banque mondiale en tant que<br /> prêteur, maintien les nations dans un étau. Si les nations ne sont pas conformes à ses orientations, la Banque peut couper la ligne de vie financière. Son « Rapport sur le développement<br /> mondiale de 1984 » stipule que la Banque mondiale menace les nationsqui sont lentes à mettre en œuvre « les politiques de population» de la Banque avec « des<br /> mesures drastiques, moins compatibles avec les choix individuels et la liberté. »<br /> <br /> <br /> Un document de la Banque mondiale de<br /> 2007 aborde les questions de population dites dans le 21e siècle: le rôle de la Banque mondiale.<br /> Le document indique clairement que cette poussée globale et coordonnée pour un contrôle total n’est pas un rêve vague. Il est déjà en cours de test-tubé dans plusieurs pays en développement.<br /> Le document stipule deux cas qui sont actuellement en cours. Dans le premier exemple, le Niger, la Banque mondiale a déjà mis en place ce qu’on appelle «benchmarks» que la nation<br /> en question est à la hauteur des attentes et peux bénéficier du soutien continu de la Banque mondiale. Dans le cas du Niger, considéré par le FMI comme un « pays pauvres très endettés» – et donc<br /> facile à dompter.<br /> Le diable est dans les détails. La Banque mondiale et l’ONU sont prêts à faire du chantage aux « Pays Pauvres Très Endettés» dans la mise en œuvre au niveau mondial une coordination des<br /> politiques de contrôle démographique devient également évident dans le second cas-test par exemple: Yémen:<br /> <br /> <br /> «ne sont pas seulement reconnus<br /> comme des obstacles majeurs à la croissance économique et réduction de la pauvreté, mais a été inclus comme l’un des objectifs spécifiques qui ont été ensuite traduits dans les politiques,<br /> programmes, et un indicateur ( réduire le taux de croissance de la population de 3 pour cent par an). En outre, le budget a été alloué spécifiquement pour chacun des quatre<br /> politiques de population qui ont été décrites. «<br /> <br /> <br /> Les dimensions de ce « consensus<br /> mondial » sont très vastes. Ces dimensions sont diaboliques, décrit dans le «Document de travail » 2007 avec l’aide de la rengaine: «Une approche multisectorielle ».<br /> Parlant de la dictature scientifique, la Banque mondiale travaille de concert avec toutes les autres armes de la pieuvre.<br /> <br /> <br /> L’intention et la stratégie laisse<br /> peu de place à l’imagination: un consensus mondial est en place entre toutes les grandes institutions transnationales et les banques: la population de la terre doit être ramené, par tous<br /> les moyens.<br /> <br /> <br /> La Banque mondiale utilise des<br /> outils financiers pour rassembler les nations sur leurs genoux, en exigeant qu’ils abattre leurs numéros;<br /> l’ONU garantit la légitimation politique de ces politiques de dépopulation (Action 21);<br /> les fondations de développer des vaccins anti-fertilité et des aliments génétiquement modifiés,<br /> l’Organisation mondiale de la Santé prend soin des «normes de santé » et de la distribution.<br /> Avec l’aide de ce concept global, soigneusement coordonnés à partir du haut vers le bas, la dictature scientifique a fait le tour des wagons autour de toute l’humanité libre.<br /> <br /> <br /> Jurriaan Maessen<br /> May 14, 2012<br /> Article complet et Sources: explosivereports / infowars<br />
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