l’Humain ne descend pas du Singe : l’Imposture de Darwin
Tour d’abord Charles Darwin n’était pas un scientifique, mais un amateur. S’il a abandonné ses études de médecine, il n’a jamais étudié à l’université pour obtenir son diplôme de naturaliste, de géologue ou d'anthropologue. Un de ses maîtres à penser était le médecin zoologiste allemand Ernst Haeckel ; un in-humaniste et inventeur du terme - Écologie.
C'est ce dernier qui avait induit que par transformisme l’Humain descendait d’un Pithécoïde. C'est ce même Haeckel qui sera reconnu comme un faussaire de l'embryogénèse en dessinant l'évolution fœtale humaine comme identique au départ à celle de vertébrés et poissons. Une première gigantesque imposture qui est pourtant encore reprise de nos jours.
Cependant n'oublions pas que dès Pythagore, 580 avant JC, et sans doute bien avant, de nombreux penseurs et chercheurs ont émis des théories sur l'Évolution et la Création. Depuis leurs travaux ont été repris, voire pillés ou améliorés à la lueur des nouvelles connaissances. Mais pour beaucoup de philosophes antiques des énergies inconnues étaient capables de créer la vie spontanément à partir de matière inanimée ou inorganique ; donc sans stade évolutif.
Les simples observations de Darwin allaient pourtant être admises sans preuves comme étant - LA vérité absolue - et ce à l’heure où certaines sociétés secrètes voulaient en découdre avec les valeurs morales et les règles de l’Eglise pour leur substituer celles de la dépravation et de la décadence.
Ce paradigme iconoclaste et totalement fantasmé permettra ainsi d’achever au fil du temps les valeurs sociétales majeures. Mais il détruira principalement le Principe supérieur constituant l'Être humain : L'Humain dès lors deviendra un animal, un singe évolué domptable et perdra ainsi totalement son Essence divine après avoir perdu en des temps lointains la mémoire de ses origines. Cette reclassification inférieure et son acceptation par la masse permettront de mettre en place des moyens de domination et de destruction massive extrêmes.
Aujourd’hui de très nombreux scientifiques contestent et rejettent pourtant ces dogmes comme par exemple Derek W. Ager, Gary Parker ou Jean-François Moreel ou d'autres. Des scientifiques qui osent même parler d’une gigantesque escroquerie puisque les grandes failles de la théorie de Darwin se trouvent être justement dans l’absence totale de preuves. Si ce fait ne dérange pas ses néo-sectateurs, il perturbait à l'époque Darwin lui-même.
Mais comme certains anthropologues affirment que nous descendons du cochon, de la souris, des cétacés, des lémuriens placentaires et peut-être demain du tabouret, tout peut être avancé puisque ces dits doctes n‘étaient pas présents aux époques concernées de la Pangée, du Paléozoïque, du Mésozoïque ni même ai début du Cénozoïque.
Quelques exemples : Des êtres unicellulaires n'ont pas évolué en un milliard d'année comme ici, des reptiles comme la tortue, certains requins des abysses et des poissons comme le cœlacanthe n'ont pas développé d'étapes intermédiaires en 120 millions d'années. Des fossiles d'invertébrés vieux de 150 millions d'années ont toujours aujourd'hui la même structure cellulaire sans être passés par une quelconque évolution transitoire. Et quand la question cruciale est posée :
Pourquoi n'y a-t-il eu aucun changement ? La réponse est : C'est le hasard.
Pourtant des chercheurs ont démontré que l’apparition d’une espèce (phylum) à l’époque précambrienne et au Cambrien pouvait-être soudaine, non graduelle et en un laps de temps très court. Donc qu‘elle apparaissait complètement formée sans aucun ancêtre.
L’évolution n’a donc pas été lente et constante à partir de formes simples qui donnèrent ensuite naissance à des organismes toujours plus complexes. Même si le gradualisme s'est opéré (très peu) pour certaines espèces afin de mieux s'adapter.
Ce qui veut dire que l'évolution n'est pas passée de l’amibe au dinosaure, puis du primate à l’homme, et ce, en quelques centaines de millions d’années. Mais que ces formes de vie furent éruptives et aussi soudaines furent leurs extinctions de masse.
Wikipédia : Artist's conception
Les évolutionnistes iront pourtant affirmer que des fossiles de forme intermédiaire attestent la validité de cette théorie. Un exemple : celui du Basilosaurus qui prouverait que ce gradualisme existe sous prétexte que celui-ci possédait de petites nageoires postérieures (d'anciennes pattes) qu'il aurait hérité d'un ancêtre terrestre ; c'est très mince comme indice, mais affirmé comme étant une preuve.
Le Pr Roberto Fondi, paléontologiste, professeur à l’université de Sienne dit ceci :
« Dans la nature, il n’y a pas de hasard. II existe un programme et des influences non matérielles qui agissent au cours de l’évolution »
Stephen J. Gould, pourtant évolutionniste dit :
« L’extrême rareté des formes de transition est le secret de fabrique de la paléontologie... L’historique de la plupart des espèces fossiles comprend deux caractéristiques allant à l’encontre du gradualisme :
La fixité. La plupart des espèces ne démontrent aucun changement de direction tout au long de leur durée sur terre. Dans le registre fossile, leur apparence est à peu près la même à leur disparition; les changements morphologiques sont habituellement limités et sans direction.
L’apparition soudaine. Peu importe la zone locale, les espèces n’apparaissent pas graduellement, à la suite de la transformation constante de leurs ancêtres; elles apparaissent plutôt tout d’un coup et « complètement formées »
Il faut également savoir qu’à l’époque de Darwin la structure de la cellule était incomprise. Mais grâce au microscope à balayage électronique le XX siècle démontrera qu’elle est une usine moléculaire très sophistiquée et qu'il reste toujours à ce jour à découvrir la totalité de ses fonctions.
Or chacun constatera, et ce malgré les avancées techniques et quantiques actuelles, qu'une bataille acharnée continue de se dérouler entre les adeptes de l’Évolutionnisme et de l’autre côté ceux du Créationnisme. La sagesse voudrait cependant qu‘aucune croyance ne soit à la source du débat sur nos origines.
Mais cette guerre n‘est-elle pas un leurre pour éviter qu‘une troisième voie ne soit empruntée et explorée ? Chacun campe ainsi sur sa croyance, soit celle en Dieu, en Darwin ou soit sur sa mauvaise foi patente, et de ce fait le débat reste stérile et censuré.
Cependant il ne faut pas oublier que cette théorie de l’Évolution est principalement un dogme occidental, comme celle du «Out-of-Africa », et qu‘aucune preuve scientifique ne vient les confirmer. Ailleurs cette théorie bat de l'aile ou n'a jamais été prise au sérieux. En Chine en Inde et dans le Pacifique des scientifiques et des penseurs sont nombreux à affirmer que les premiers nés naquirent dans ces régions et non en Afrique, et qu'ensuite ils colonisèrent les autres parties de la terre. Mais surtout qu'ils ne descendent pas d'anthropoïdes.
Thomas Robert Malthus
Malheureusement la pensée darwinienne inspirera de nombreux chercheurs, politiques et penseurs du monde entier. Ainsi après la première guerre sino-japonaise (1894/95) cette théorie fut mise en avant pour révolutionner la Chine en s’appuyant sur un darwinisme social. Elle mènera plus tard au Communisme en transposant les lois de la jungle et de la nature à la société humaine et ouvrira la porte au dogme marxiste.
Darwin se serait d’ailleurs aussi inspiré des travaux de l’eugéniste Malthus. Une théorie qui sera reprise idéologiquement et comme une arme de domination par Marx Lénine, Staline, les sionistes, Bush, Blair & Co.
Selon Malthus, « la population humaine a tendance à s'accroître rapidement lorsqu'elle est laissée à se débrouiller par elle-même. Seuls les désastres tels que les guerres, la famine et les maladies étaient sont en mesure de contrôler la population humaine ». En décodé certains doivent mourir pour que d’autres (entendez une élite) puissent vivre.
Selon Yan Fu (1854-1921), un célèbre penseur chinois, « La principale légitimation de la révolution chinoise émane de l'introduction de la théorie de l'évolution ». Et le philosophe socialiste allemand, Friedrich Engel, comparait le darwinisme au marxisme.
Darwin allait ainsi faciliter le combat des plus forts contre les plus faibles et contre le reste du monde. Il allait aider à ériger la race blanche en race dominante afin d‘exterminer, comme dans son observation simpliste et erronée, les plus faibles.
Cette idée saugrenue de l’évolution allait porter un coup fatal aux sociétés modernes, aux valeurs morales, à la justice et l’égalité des droits pour ne servir que les intérêts des plus forts, de ceux qui n’ont aucun scrupule à déposséder et à écraser les autres à l‘aide des moyens les plus vils et les plus meurtriers.
Il écrira ceci : « Dans un avenir, pas très lointain, en comptant par siècles, les races civilisées de l'homme vont sans doute exterminer et prendre la place des races sauvages à travers le monde. Dans un même temps, les singes anthropomorphes seront sûrement exterminés. La séparation entre l'homme et ses alliés les plus proches s'intensifiera car elle touchera, je l'espère, l'homme dans son état plus civilisé, le Caucasien et certains singes aussi inférieurs que le babouin, au lieu comme c'est le cas aujourd'hui entre le nègre, ou l'Australien et le gorille. » source : Charles Darwin, The Descent of Man
Cette théorie du gradualisme des espèces et celle du plus fort allaient ainsi bouleverser les fondamentaux anthropologiques, religieux, sociétaux et politiques, asseoir les pires régimes comme le Communisme, le Maccarthysme et le Fascisme, et inspirer les pires dérives comme le Matérialisme philosophique, le Déterminisme, la Science et la Médecine mécanistes soutenues depuis Descartes, le Capitalisme sauvage, le Racisme et l’Eugénisme.
Il y a de cela plusieurs années j’avais rédigé un article pour contester cette théorie « du Règne du plus fort » mais avec plus de 3000 articles je ne le retrouve plus.
J’y explique l’inverse. C’est à dire que les dominés (ceux qui n'ont pas le pouvoir et ceux qui sont exclus ou rejetés) finissent toujours par former entre eux de nouveaux groupes pour survivre en passant cette fois du stade de dominés à celui de dominants et (ou) d’adversaires. De plus ils deviennent beaucoup plus sensitifs et attentifs aux plus faibles en veillant sur eux, contrairement aux plus forts qui les éliminent.
Ils jouent ainsi un rôle fondamental dans la continuité de l'espèce et de ses mécanismes de survie, donc au niveau de l'ADN. Les plus faibles comptent également sur leur nombre et sur leur intelligence contrairement aux plus forts qui ne misent que sur leur force brute, animale et barbare.
Darwin n'avait sans doute pas observé, ou très mal, ce qui se passait dans la faune chez les jeunes quand ils étaient exclus du groupe. Ils revienaient plus tard détrôner les mâles Alpha en passant de dominés à dominants.
Comme l'étude et la fin du règne des Dinosaures démontreront que : Premièrement ils étaient démographiquement très peu par rapport à d’autres espèces plus petites.
Deuxièmement que leur gigantisme les éloignait les uns des autres afin de trouver un habitat à leur dimension avec des proies et de la nourriture en abondance. Ce qui implique de se disperser pour survivre mais aussi de se fragiliser. Enfin, et surtout, qu'en apparence les plus forts ne sont pas les mieux armés pour survivre à l‘évolution mais bien le contraire.
Le gigantisme finit par desservir, comme la violence et la force physique s'avèrent être à terme un handicap pour les prédateurs.
Idem plus tard chez beaucoup de grandes espèces du Crétacé, du Miocène et du Pléistocène qui dominaient en ces périodes.
Comme de nos jours en Afrique et aux Pôles nous assistons à d'étranges scènes, comportements et revirements de situation. Les prédateurs se voient de plus en plus souvent en difficulté face à des proies qui au fil du temps se sont dotées de nouvelles capacités pour leur échapper.
Ces proies mettent au point des attaques de groupe pour protéger leurs petits et se protéger mutuellement.
Ainsi voyons-nous de paisibles herbivores attaquer leurs prédateurs, développer des techniques de mise à mort et venir au secours d'espèces différentes. Ce qui implique que les dominants sont de plus en plus souvent blessés ou tués et qu'ils ont de plus en plus de mal à s'alimenter.
Les puissants d’aujourd’hui sont donc irrémédiablement condamnés eux aussi à disparaître comme les Dinosaures, les Grecs ou les Romains, contrairement à l’affirmation de Darwin et de Thomas Malthus.
D’ailleurs chez l’humain le fait que des dominants ou que de puissants oligarques peuvent tomber aussi souvent malades que des dominés, être ruinés et assassinés comme eux, mourir souvent plus rapidement ou au même âge qu’eux, avoir des tares qui ne sont pas spécifiques à certains milieux sociaux, démontrent que « la loi du plus fort » ne s’appuie que sur un spectre très étroit d’observations, et même sur de la malhonnêteté, et que seules les capacités psychiques, physiologiques et spirituelle d’un individu comptent et non son statut dans une société.
Une partie des exclus et des dominés combatifs en bonne santé finit donc toujours par développer des instincts et des capacités de survie puissants, à élaborer de nouvelles techniques, à conquérir d’autres territoires et à s‘allier si nécessaire avec les plus forts pour les vaincre à terme.
Si les dominants finissent toujours par s’éteindre du fait de leur petit nombre, de leur gigantisme, de leur assurance et de leur facilité de vie, qui les plongent dans une schizophrénie paranoïde, les dits dominés en sont souvent les instigateurs à leur insu.
Comme ils sont orgiaques et brutaux dans leurs besoins ils finissent par détruire leur propre habitat, quand les autres le préservent et se préservent.
Ces comportements psychopathiques rendent à terme les dits dominants inexorablement vulnérables face à des d’esprits beaucoup plus nombreux qui se remettent perpétuellement en question. Sans compter leurs alliés qui finissent par les trahir et les rejeter.
Parallèlement les dits dominés sont bien obligés de s’organiser, d’élargir leur conscience et de déployer un maximum de potentiels quand les premiers sûrs d‘eux s‘enfoncent inexorablement dans leurs croyances et leurs certitudes. De facto ils construisent leur propre bûcher. C’est ce que nous commençons à voir en ce moment.
Cependant depuis la naissance de la Génétique, de la néo Archéo-paléontologie et de la Science Quantique, le Dogme darwinien s’écroule malgré le fait que les néo-darwinistes s’évertuent à le faire vivre coûte que coûte. Pour ce faire ils comblent les failles au mieux ou au plus mal en procédant à des d'expériences de mutagenèses qui échouent les unes après les autres. Tout comme précédemment ils lancèrent des découvertes qui se s'avérèrent être par la suite de véritables impostures comme celle de« l’homme de Piltdown » et « l’homme de Java » et de nombreuses autres pour tenter de trouver le gradualisme manquant.
Le sympathique Yves Coppens lui-même a reconnu certaines de ses erreurs sans pour autant que l’on cesse de les lire, de les répéter ou de les entendre dans des reportages.
Les chaînes National Géographic, Encyclopédia, Histoire et toutes les autres, même Arte, et les magazines scientifiques participent d’ailleurs activement à colporter ces mensonges en diffusant des reportages dans lesquels ces impostures darwiniennes et d'autres, comme sur les Pyramides par exemple, sont encore montrées comme étant des preuves irréfutables et la vérité vraie.
Alors que l’orthodoxie scientifique insiste lourdement, non sans arrière-pensée perverse, pour nous faire descendre des grands primates et selon la théorie du « Out-of-Africa », sans en apporter une seule preuve irréfutable, il paraît évident que la vérité transperce malgré tout de jour en jour. Mais le culte du matérialisme évolutionniste est encore fortement imposé par la voix de féroces intégristes qui continuent de clore le débat. Malgré de patentes démonstrations qui ont été apportées par des collèges d’experts, la loi du plus fort et les mensonges résistent encore. Et quand le commun des mortels aime prendre des vessies pour des lanternes...il leur facilite la tâche.
Au pire ! Il paraîtrait tout de même plus logique que les grands primates soient des humains dégénérés. Ce pourrait être survenu suite à de violents cataclysmes et des conditions de survivance très difficiles. Mais ces grands primates peuvent tout aussi bien n’avoir aucune parenté avec l’humain et être des créatures séparées de Nous.
Quand au 1,5 ou 2% de leur génome, qui établirait la différence entre l'humain et le singe, aujourd'hui son séquençage est grandement remis en question puisque la différence serait nettement plus importante.
Si nous descendions vraiment d'un primate, alors il ne s'agirait plus d'une évolution mais d'une réelle involution ou régression.
Mais certains doivent en descendre quand nous observons la brutalité animale qui existe depuis la période paléolithique, l’âge du Fer et surtout maintenant ; l’involution est patente. Elle est patente puisque nous devrions vivre un Âge d‘or tellement nos connaissances, nos technologies, nos richesses et celles terrestres sont abondantes. Des ressources qui pourraient permettre de faire vivre des milliards d'individus supplémentaires contrairement à ce que dit leur mensonge : « la Terre est surpeuplée ».
Que constatons-nous au niveau de l'évolution ? Et bien que c’est l’inverse qui s'est produit puisqu' aujourd'hui c'est la barbarie des puissants qui domine et que les ressources terrestres sont spoliées par ces derniers, comme ils brevètent le vivant, massacrent, volent, souillent et détruisent tout ce qu'ils touchent.
Si nos techniques et nos sciences se sont constamment accrues, il n’en reste pas moins évident qu’elles sont devenues uniquement matérialistes, bassement cupides, rationalistes à l'excès, terriblement dangereuses et perverses. Quant à l'humain, il s'est vidé de son essence spirituelle première ou divine pour se ramener au stade d’un simple animal parlant dressé par des clowns pathétiques et dominants ; et fier de l'être. C’est le siècle des Lumières éteintes après celui rouge-sang révolutionnaire franc-maçon.
Depuis l'Ève Biblique et non Originelle (la Race Féminine), qui est très largement antérieure à l'homme ou au mâle, officiellement - 130 000 à - 150 000 ans, et la découverte de son ADNmt, nous savons qu’elle ne se situait pas forcément en Afrique.
L’ADNmt est le seul marqueur ancestral uniquement transmis par la mère contrairement au nucléaire qui est hérité des deux parents. L'Ève mitochondriale a donc produit une chaîne ininterrompue de filles jusqu'à aujourd’hui alors qu'il n'existe aucun ADN uniquement masculin.
(Lire Bryan Sykes « Les Sept Filles d'Ève » et les sept lignées aboutissant à sept femmes originelles. Ces travaux de généticien sont effectués sur la classification de tous les humains actuels en remontant leurs lignées mitochondriales. Ses résultats montrent que 95 à 97 % des Européens sont reliés à l'une des sept mères originelles et qu’une seule, Jasmine, est née au Proche-Orient.)
Ces résultats sont un véritable cataclysme au sein de l’Orthodoxie régnante. Mais comme elle est aux mains de mâles dominants ces derniers doivent redoubler de ruses et de mensonges pour conserver leur pouvoir de domination et leurs privilèges.
Cette bombe nucléaire ADNmt fait ainsi s’effondrer des pans entiers de l’Histoire, de la Religion et de la science darwiniste. Mais principalement l’origine adamique qui est mentionnée dans la Bible judéo-chrétienne puisque son héros Adam(Race) devient la Création de la Femme. C'est la Chute ou la séparation des corps après une période hermaphrodite de la femme/homme.
Un déluge hydrique a certainement contribué à cette incroyable mutation puisque notre corps est composé à 90% d'eau à la naissance.
Si Péché Originel il y a, comme me disait un ami : « C'est que l'homme est une femme dégénérée ».
De ce fait tout est mis en œuvre pour venir décrédibiliser cette origine féminine en y apportant des résultats d’études plus que douteux et éviter ainsi que les peuples n'apprennent la vérité ou qu‘ils ne se posent des questions.
C'est un coup terrible qui est ainsi apporté aux trois monothéismes, à leur Dieu mâle et au Patriarcat. Chacun en comprendra donc l'enjeu. Mais si tout le monde a admis sans preuves et sans se poser de questions durant deux millénaires que l'homme avait crée la femme, qu'il lui était supérieur et qu'aujourd'hui cette version est solidement ancrée dans la mémoire collective, l'inverse peut donc être parfaitement possible et vrai. Surtout quand nous savons de source certaine que le Tanakh et l’Ancien Testament ne sont eux-mêmes que des copies falsifiées et assaisonnées à la sauce hébraïque à partir d’anciens textes sumériens, hindous, tibétains, perses et égyptiens.
Ce mythe permettra de créer un patriarcat puissant qui demeure encore, de rabaisser la Femme, d'éradiquer sa puissance, d'inventer une lignée de grands rois, de héros et de patriarches, l‘histoire d‘un peuple élu et celle d'un dieu tout puissant vengeur.
En ce qui concerne principalement l'Amérique du sud, les Celtes, l'Inde, l'Afrique, les régions Transhimalayennes et l'Asie centrale, de nombreux textes sacrés et apocryphes antiques parlent de création spontanée et de plusieurs races successives qui ont été créées par des dieux géants (Humains et non extraterrestres). Nous retrouvons également ces races dans les écritures cunéiformes assyro-chaldéennes et babyloniennes, et très tardivement dans la Bible. Pour cette dernière le scribe Ezra (ou les scribes) a juste changé les noms pour qu’ils deviennent les Elohim ( Anunnaki) et falsifié l'Epopée de Gilgamesh et l'Enûma Elish pour en faire la Genèse.
( les extraterrestres, très terrestres, sont un moyen de domination. Leur invention sert également à la substituer doucement au dogme de nos origines simiesques puisqu'il s'écroule)
Il est donc certain qu‘à ces époques lointaines une race supérieure existait ; c’est pour nous la Race Elohim qui engendrera ensuite la lignée qui donnera les Nephilim, les Ephraïm ou les Géants, ou ceux de la mythologie gréco-romaine. Soit celle des Anunnaki en Mésopotamie, précédemment celle des Atlantes et avant celle de Mu.
D’ailleurs dans l’Ancien Testament il y a plusieurs Lignées après les Elohim, ou Créations, même si certains affirment qu’il ne s’agit que de répétition. Mais pas du tout ! Car les noms sont différents et les verbes également entre - concevoir - engendrer - créer et enfanter :
C’est celle d’Ève ( la seconde Ève) qui est décrite en premier et qui conçoit Caïn (Principe mâle en devenir) sans accouplement avec le Divin ( par Parthénogénèse) et Abel ( Principe autogénitus dit Divin) qui sera tué. Ensuite suivra celle d'Adam (femmes en mutagénèse) qui engendrera Seth pour arriver à Noé. Noé à une femme sans nom, c'est sa partie et son côté féminins qui sont absents, il symbolise donc les premiers hommes sexués reproducteurs.
Cette Race supérieure s’est-elle alors accouplée avec une lignée inférieure ou est-ce la séparation des corps qui permit à la longue la copulation ; ou est-ce les deux mon capitaine ?
Genèse, chapitre 6/6:2 : « les Elohim, (devenus les fils de Dieu), trouvèrent que les filles des hommes leur convenaient et ils prirent pour femmes toutes celles qu'il leur plut »?
Les Anunnaki sont une lignée de dieux. Ils ont été découverts sur des inscriptions mésopotamiennes antérieures de plus deux mille ans au récit biblique. Cependant volontairement le nom de certaines grandes Déesses sera changé pour le masculiniser. Le satanisme inverse tout. Il faut donc traduire : Les filles de la Déesse trouvèrent que les mâles( leur côté naissant masculin ou ces créatures) leur convenaient [...]
Pour terminer il faudra pourtant faire admettre à tous, et cela ne sera pas facile, que les Écritures et les preuves archéologiques de nos origines (féminines, non simiesques) ont été soigneusement falsifiées et cachées au grand public, tout comme celles de ces grandes Civilisations antédiluviennes qui ont disparues avec leurs Continents.
Pour ce faire, on cache, on nous ment, on invente, on falsifie et on force la nature afin de démontrer qu’il n’existe aucune autre alternative possible. Cela s’appelle un crime masqué sous l'euphémisme - Dogme - qu'il soit scientifique, religieux ou politique. Pour arriver à effacer cette historicité fondamentale, les datations ont été également délibérément faussées.
L’Humain double sapiens n’est donc pas descendu au départ d’un arbre pour ensuite découvrir le premier la bipédie, il y est peut-être monté pour survivre, enfin certains, quand une race antérieure et supérieure en mutation coexistait déjà avec lui .
Une bipédie rappelons-le qui existait chez les dinosaures voilà 140 millions d'années. Pourquoi dans ce cas ne pas nous faire descendre directement d’eux puisque c'est soi-disant la bipédie qui nous aurait permis de devenir Sapiens ?
Enfin si l’Humain descendait du singe tous les grands primates seraient devenus des humains en 58 millions d’années, et le chaînon manquant aurait été trouvé depuis belle lurette. Et si les expériences qui sont menées sur le gorille, l’orang-outan, le chimpanzé et le bonobo démontrent qu'ils sont aptes à singer l’homme, ou peut-être capables avec de l’entrainement de réactiver des gènes endormis, pour recouvrer leurs anciennes facultés humaines, ces résultats n'attestent en aucun cas que nous descendons d'eux et qu'ils sont nos cousins ou ancêtres lointains.
Quoi qu’il en soit, l’humain qui a une conscience ne descend pas d'un singe.
http://www.diatala.org/article-l-humain-ne-descend-pas-du-singe-l-imposture-de-darwin-110798024.html