ILS N’AURONT PAS LE PARTHENON
Mesdames et messieurs je vais être vulgaire
Mais quand j’entends parler les quelques dirigeants
De cette triste Europe, c’en devient affligeant.
Ces vociférations, pour des histoires d’argent
Comme j’ai bien oublié d’avoir l’esprit grégaire.
Ils auront beau vouloir nous prendre pour des cons
Ils n’auront pas le Parthénon !
Il nous suffit de voir où en est notre terre
Et l’arbre sur lequel ils se sont tous perchés
Assis sur une branche dangereusement penchée
Ils la scient en chantant, comme des débranchés.
Insondable folie, pour délires budgétaires
Ils auront beau vouloir nous prendre pour des cons
Ils n’auront pas le Parthénon
Ils détruisent, ils détruisent, tout ce qu’ils peuvent détruire
On en reste béat, mais pas d’admiration
Devant ce grand absurde, c’est la consternation
Que nous mijotent t-ils par ces provocations ?
De ces horreurs ma foi, que faut-il en déduire ?
Ils auront beau vouloir nous prendre pour des cons
Ils n’auront pas le Parthénon.
Nous vivons avec eux, une bien étrange époque
Nous sommes gouvernés en dépit du bon sens
Dans une démocratie en pleine déliquescence
Sacrifiée sur l’autel de déesse croissance.
Devant qui sans vergogne un par un se défroquent.
Ils auront beau vouloir nous prendre pour des cons
Ils n’auront pas le Parthénon
Pendant qu’ils déblatèrent sur de nouvelles lois
Notre belle planète continue son ménage
Pour eux je ne crains pas qu’ils aient un surmenage
Leur cerveau ne fait plus que du rembobinage
Le discours est le même de Berlin à Bellois
Ils auront beau vouloir nous prendre pour des cons
Ils n’auront pas le Parthénon
Les temps changent pourtant la terre fait des siennes
Ils fixent leur regard sur les temples boursiers
Où tant de chiffres tombent sous des yeux extasiés
Tout doit rentrer dans l’ordre, entrer dans un casier
Ils ne voient le soleil filtrer par les persiennes
Ils auront beau vouloir nous prendre pour des cons
Ils n’auront pas le Parthénon
Soleil anime les révèle tes mystères
Eclaire leur esprit égaré dans la peur
De voir l’économie plongée dans la stupeur
Les bourses paniquées par des chiffres trompeurs
Cette peur qui nourrit les lois totalitaires
Ils auront beau voiloir nous prendre pour des cons
Ils n’auront pas le Parthénon
Dirigeants de ce monde il y plus grand que vous
Calmez donc cette ardeur à dominer les hommes
Car il est en chacun le plus grand des royaumes
Tapi dans la cellule et dans le moindre atome
Cet intime lui-même qui le maintient debout.
Essayez de nous prendre malgré tout pour des cons
Vous n’aurez pas le Parthénon
Homme Dieu qui t’élève au-delà des querelles
Qui te dresse alors même qu’on détruit ta maison
Tu sais au fond de toi qu’on change de saison
L’histoire de ces hommes en pleine déraison
N’est déjà plus qu’une ombre qui se fait bien la belle
Ils ne vont plus pouvoir nous prendre pour des cons
Nous occupons le Parthénon.
ILS N’AURONT PAS LE PARTHENON
Mesdames et messieurs je vais être vulgaire
Mais quand j’entends parler les quelques dirigeants
De cette triste Europe, c’en devient affligeant.
Ces vociférations, pour des histoires d’argent
Comme j’ai bien oublié d’avoir l’esprit grégaire.
Ils auront beau vouloir nous prendre pour des cons
Ils n’auront pas le Parthénon !
Il nous suffit de voir où en est notre terre
Et l’arbre sur lequel ils se sont tous perchés
Assis sur une branche dangereusement penchée
Ils la scient en chantant, comme des débranchés.
Insondable folie, pour délires budgétaires
Ils auront beau vouloir nous prendre pour des cons
Ils n’auront pas le Parthénon
Ils détruisent, ils détruisent, tout ce qu’ils peuvent détruire
On en reste béat, mais pas d’admiration
Devant ce grand absurde, c’est la consternation
Que nous mijotent t-ils par ces provocations ?
De ces horreurs ma foi, que faut-il en déduire ?
Ils auront beau vouloir nous prendre pour des cons
Ils n’auront pas le Parthénon.
Nous vivons avec eux, une bien étrange époque
Nous sommes gouvernés en dépit du bon sens
Dans une démocratie en pleine déliquescence
Sacrifiée sur l’autel de déesse croissance.
Devant qui sans vergogne un par un se défroquent.
Ils auront beau vouloir nous prendre pour des cons
Ils n’auront pas le Parthénon
Pendant qu’ils déblatèrent sur de nouvelles lois
Notre belle planète continue son ménage
Pour eux je ne crains pas qu’ils aient un surmenage
Leur cerveau ne fait plus que du rembobinage
Le discours est le même de Berlin à Bellois
Ils auront beau vouloir nous prendre pour des cons
Ils n’auront pas le Parthénon
Les temps changent pourtant la terre fait des siennes
Ils fixent leur regard sur les temples boursiers
Où tant de chiffres tombent sous des yeux extasiés
Tout doit rentrer dans l’ordre, entrer dans un casier
Ils ne voient le soleil filtrer par les persiennes
Ils auront beau vouloir nous prendre pour des cons
Ils n’auront pas le Parthénon
Soleil anime les révèle tes mystères
Eclaire leur esprit égaré dans la peur
De voir l’économie plongée dans la stupeur
Les bourses paniquées par des chiffres trompeurs
Cette peur qui nourrit les lois totalitaires
Ils auront beau voiloir nous prendre pour des cons
Ils n’auront pas le Parthénon
Dirigeants de ce monde il y plus grand que vous
Calmez donc cette ardeur à dominer les hommes
Car il est en chacun le plus grand des royaumes
Tapi dans la cellule et dans le moindre atome
Cet intime lui-même qui le maintient debout.
Essayez de nous prendre malgré tout pour des cons
Vous n’aurez pas le Parthénon
Homme Dieu qui t’élève au-delà des querelles
Qui te dresse alors même qu’on détruit ta maison
Tu sais au fond de toi qu’on change de saison
L’histoire de ces hommes en pleine déraison
N’est déjà plus qu’une ombre qui se fait bien la belle
Ils ne vont plus pouvoir nous prendre pour des cons
Nous occupons le Parthénon.
Alexandre le Grec pour
"Vers un nouveau paradigme"
2012 et aprés