Le Nouveau Paradigme

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Commencer à penser par soi même c'est déjà faire partie de la solution


De la drogue dans nos assiettes

Publié par Dav sur 15 Avril 2013, 18:30pm

Catégories : #Documentaires

Percer le mystère de notre alimentation est devenu un cauchemar !
En abusant de notre confiance, l’industrie alimentaire, a révélé combien elle était prête à
jouer avec notre santé. Chips, gâteaux, céréales, plats préparés, cuisine surgelée…
en 50 ans, l’alimentation industrialisée a su se rendre indispensable. Les produits de
cette industrie florissante occupent trois fois plus de rayonnage que les fruits et légumes
dans les supermarchés. A table, dans nos assiettes, elle représente 80 % de ce que nous
ingurgitons. Facile, rapide, omniprésente, abordable et pas mauvaise, elle est incontournable et… irrésistible. Obésité, diabète,… l’OMS a beau tirer le signal d’alarme
sur ces épidémies galopantes directement liées à notre régime alimentaire industrialisé,
riche en calories et pauvre en éléments nutritifs, nous ne changeons rien à nos habitudes
jusqu’à nous rendre de plus en plus malade.
Quelle est la recette qui nous rend aussi accrocs à ces aliments ?

 

 

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L
<br /> http://www.inexplique-endebat.com/article-l-alimentation-influence-le-comportement-et-la-sante-117682333.html<br />
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L
<br /> Dans l'enfer de la malbouffe<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> CONSOMMATION<br /> <br /> <br />  — <br /> <br /> <br /> Entre le fromage synthétique et les îles flottantes sans œufs, l’industrie agroalimentaire nous fait avaler<br /> <br /> <br /> n’importe quoi. Un livre enquête sur ce phénomène. A en perdre l’appétit.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Le scandale des lasagnes à la viande de cheval a jeté une lumière crue sur le phénomène de la malbouffe. Mais<br /> cet événement est une goutte d’eau dans la mer. Et ce serait presque une gentille rigolade par rapport aux futurs scandales qui risquent d’ébranler le domaine de l’agroalimentaire. Dans un<br /> ouvrage qui sort mercredi, «Vive la malbouffe, à bas le bio», Christophe Labbé et Olivia Recasens, journalistes au Point, Jean-Luc Porquet et Wozniak, journaliste et dessinateur au Canard<br /> enchaîné, nous dressent le musée des horreurs de la bouffe.<br /> <br /> <br /> Le bio<br /> <br /> <br /> «C’est une bonne démarche,affirme Christophe Labbé. Une alternative à l’agriculture productiviste.» Mais, car il y a un gros mais,<br /> le bio n’est pas toujours blanc comme neige. «Il est présenté comme la solution à tout, relève le journaliste. Et ne peut être critiqué. Le consommateur est prié de croire et d’avaler le bio avec<br /> le sourire. Mais, dans ce domaine aussi, il y a des aigrefins qui tentent de tirer profit.» Exemple cité dans le livre, ces magouilleurs qui ont acheté des céréales et des fruits secs en Roumanie<br /> avant d’inonder le marché européen avec ces produits faussement labellisés bio. Sans oublier les traces de pesticides parfois retrouvées dans des fruits et légumes certifiés bio. Les auteurs<br /> soulignent toutefois que ces quantités sont toujours nettement inférieures à celles qui se retrouvent dans les produits classiques. La plus grande inquiétude qui pèse sur la filière reste<br /> l’attrait qu’elle exerce sur les grands groupes. On a même vu naître un concept plutôt particulier: le bio industriel. Exemple avec la province espagnole de Huelva, l’usine à fraises de l’Europe,<br /> où certains font de la fraise bio avec des méthodes pas très éloignées de celles, contestées et contestables, de leurs concurrents produisant de manière classique.<br /> <br /> <br /> L’abattage<br /> <br /> <br /> Des canards shootés au gaz hilarant, des animaux malades bourrés de médics pour recevoir l’autorisation de passer à la moulinette ou<br /> encore des carcasses de bœuf stimulées électriquement pour fournir de la viande plus tendre, le monde des abattoirs fait froid dans le dos. «Ce sont des usines à mort dans lesquelles il est plus<br /> difficile d’entrer que dans une usine d’armement, relève Christophe Labbé, qui enquête dans le secteur depuis plusieurs années. Car, pour tenir les cadences et produire de la viande en quantité<br /> et à bas prix, il faut mettre en place des systèmes que les consommateurs ne toléreraient pas de voir.» Et le journaliste de rappeler que le scandale des lasagnes a montré que, dans la filière de<br /> la viande, tout est récupéré et recyclé. «Et les déchets se retrouvent dans les plats les plus industriels. Ceux que les consommateurs les moins fortunés achètent.» Pour trembler encore un peu<br /> plus, pensons à ces chers chercheurs néerlandais qui se félicitent d’avoir réussi à créer de la viande in vitro. Vous reprendrez bien un peu de jambon?<br /> <br /> <br /> L’huile de palme<br /> <br /> <br /> Le principal ingré-dient de la malbouffe, souligne l’ouvrage. Matière grasse la moins chère, et donc la plus vendue dans le monde,<br /> elle se retrouve partout. Chips, pizzas, barres chocolatées, etc., peu d’aliments industriels y échappent. «Pourtant, l’effet délétère sur la santé de l’huile de palme hydrogénée est clairement<br /> établi», souligne Christophe Labbé. Le journaliste appelle donc à une prise de conscience des consommateurs. «Il faut lire les étiquettes et se tourner vers les produits les moins transformés<br /> possibles. Plus un aliment est travaillé, plus il perd en nutriments et en traçabilité.» Car, comme le rappelle l’auteur, l’industrie agroalimentaire n’a qu’un but: gagner de l’argent. «L’agrobusiness a une peur terrible de la transparence. C’est pour cela qu’il investit énormément d’argent pour faire la publicité de ses produits. Cela lui<br /> permet de tirer un rideau sur la réalité et de raconter une histoire pour enfants aux consommateurs.» Dans les faits, 80% de ce que les consommateurs européens avalent continuent à être de la<br /> nourriture industrielle.<br /> <br />
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