

Contrairement aux propos péremptoires du Pr Lévy qui a osé dire à la télévision qu’ « il n’y a pas de mort d’enfant liée aux vaccinations », en réalité c’est TOUT FAUX. Et c’est d’ailleurs tellement le cas qu’un programme officiel canadien (au Québec) inclut une indemnisation de décès y compris les frais funéraires. Or ces vaccins de même composition sont aussi injectés de l’autre côté de l’Atlantique où une forme particulière de négationnisme conduit à nier de façon affligeante cette même possibilité de décès et tous les handicaps qui sont indissociablement liés à la pratique vaccinale… Ce déni surréaliste est donc intenable, très clairement. Lorsque des décès surviennent, chez des patients immunodéprimés le plus souvent, et qu’ils sont mis en lien avec la rougeole, on a droit à un battage médiatique énorme mais c’est une fois encore un deux poids deux mesures puisque les décès et handicaps graves d’enfants après ces vaccins « sauveurs », eux, sont systématiquement classés parmi les « coïncidences », les « malheureux hasards ». Comment s’étonner que cet état des choses suscite une indignation et un malaise croissant… Les promoteurs de vaccins feraient bien, d'une part, de modifier en profondeur les critères d'évaluation des vaccins et d'autre part d'essayer (plutôt que d'imposer indistinctement à tous une vaccination avec ses risques propres) de mettre à jour les facteurs individuels de risque de complications |