Le Nouveau Paradigme

Le Nouveau Paradigme

Commencer à penser par soi même c'est déjà faire partie de la solution


Nous sommes tous bisexuels!

Publié par Le Nouveau Paradigme sur 26 Juin 2015, 13:50pm

Catégories : #Société

Nous sommes tous bisexuels!

On ne naît pas hétéro, on le devient.

On connaît tous des homos; certains d’entre nous le sont. On connaît tous des hétéros; si ça se trouve, il y en a parmi vous. La différence entre les deux est tellement évidente qu’elle n’appelle pas d’explication. Où que l’on se place dans le débat (vive la liberté d’expression), j’estime que le fait d’avoir le droit en France d’être homosexuel et de choisir de le revendiquer (ou pas) sans se faire lapider est un signe de progrès social et d’évolution de l’humanité.

Tout comme il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée, on a tendance à naturellement cataloguer les êtres en les identifiant selon leur orientation sexuelle. Quand le règne des Bisounours sera arrivé (c’est dire si la perspective est réaliste), cela n’intéressera plus personne en dehors de la chambre à coucher. En attendant, c’est toujours homo ou hétéro? Fromage ou dessert? Or, rarement (je n’ai pas dit jamais), très rarement, entend-on quelqu’un affirmer sa bisexualité en tant qu’orientation sexuelle.

Je n’y avais jamais réfléchi jusqu’au jour où, au détour d’une terrasse, je suis tombée amoureuse d’une fille. À 40 ans, deux enfants, et un passif d’hétéro bien chargé.

 

Norme

Au bout de vingt-cinq ans de vie sexuelle sans l’ombre d’un questionnement sur mon orientation, je venais de tomber amoureuse d’une personne du même sexe. En un clin d’œil et sans le moindre doute. «Mais alors, tu es lesbienne?» m’a-t-on demandé. Pas plus qu’avant. Je suis toujours autant attirée par les hommes. «Mais ça doit faire bizarre de coucher avec une fille?» Non plus. L’absence totale de malaise, d’étrangeté, d’inconnu était de toute évidence parfaitement déchiffrable dans mes yeux qui avaient la même lueur niaise que toutes les autres fois où mon cœur avait chaviré pour un homme. Un beau jour, j’ai simplement compris que je désirais une fille exactement comme j’avais, jusqu’à ce moment-là, désiré des bipèdes du sexe opposé.

 

 

Fin de la parenthèse à l’eau de rose. Comment une hétéro pure souche, qui n’a jamais éprouvé le moindre désir pour une femme, peut-elle prendre un virage aussi radical à 40 ans? Pourquoi maintenant? Et qu’est-ce que cela dit de son orientation sexuelle?

Un beau jour, j’ai compris que je désirais une fille exactement comme j’avais jusque-là désiré des bipèdes du sexe opposé

Notre culture, notre éducation nous poussent à désirer le sexe opposé, ce qui reste la norme (ce qui est une constatation, et non un jugement). Petites filles, nous sommes bercées par des histoires de filles soupirant pour des garçons. On nous a demandé si on avait un amoureux dès la maternelle (moi c’était Michaël, le fils de la maîtresse). On a vu Blanche-Neige épouser un prince, Barbie courir derrière Ken et Candy finir avec le prince de la colline (ou Terrence le pseudo-délinquant aux cheveux longs, je ne sais plus. Mais pas au pieu avec sa copine Annie, ça c’est sûr).

À la puberté, nos mères se sont inquiétées de savoir si on sortait avec un garçon, si on couchait avec un garçon, si on prenait nos précautions pour ne pas tomber enceinte, etc.

Lors de ma première expérience sexuelle (et des suivantes), j’ai mis des sensations sur les mots et les images qu’on m’avait proposés, et appris à aimer et à désirer ce qu’on me mettait entre les mains (ou ailleurs). N’ayant pas éprouvé d’attirance particulière pour les filles (mis à part un vague palot à ma meilleure copine en première, mais c’était un pari), je m’étais rangée dans la case hétéro, fin de la discussion, fin de la réflexion.

Pulsion sexuelle

Mais. Et si en réalité, nous naissions sans orientation sexuelle? Si petite fille on m’avait dit «quand tu seras grande tu épouseras une femme», si Barbie s’était tapé Candy, si à la puberté au lieu de me dire «mieux vaut coucher avec un garçon quand on se sent prête» on m’avait dit «tu coucheras avec une fille quand le moment sera venu», sans jamais me laisser entrevoir la possibilité de relations avec les hommes, j’aurais sans doute été lesbienne et uniquement lesbienne. Sans rejeter l’hétérosexualité par répugnance, mais par ignorance de sa possibilité. Tout comme je ne me suis jamais considérée comme attirée par les femmes simplement parce que je ne savais pas que c’était possible, puisque j’étais hétéro.

Freud ne dit pas autre chose. Dans Trois essais sur la théorie sexuelle, il explique:

«La pulsion sexuelle est [...] indépendante, semble-t-il, de son objet et elle ne doit pas non plus son apparition aux attraits qui émanent de lui.»

Si la pulsion sexuelle est indépendante de son objet, alors elle existe par elle-même, et l’on peut théoriquement ressentir du désir pour n’importe qui, indépendamment de son sexe. Si l’on accepte ce postulat (et que l’on regarde quelques épisodes de Orange is the new black), alors force est d’admettre que l’orientation sexuelle est une question de culture... et d’histoire personnelle.

Monde des possibles

Il a existé en Europe une société qui, au lieu d’orienter la sexualité vers son objet, accordait toute l’importance à la pulsion: celle de la Grèce antique. La pédérastie y était une coutume sociale ancrée dans les mœurs. Il était d’usage que les (garçons) adolescents aient des relations sexuelles avec des hommes plus âgés, qui les initiaient. Ces relations cessaient lorsque les premiers poils apparaissaient chez le jeune homme, dont il n’était pas rare que l’amant fût marié avec une femme.

Force est d’admettre que l’orientation sexuelle est une question de culture... et d’histoire personnelle

Inutile de remonter à Jules César ou à Alexandre le Grand, à Caligula ou à Casanova,  à Marie-Antoinette ou à Colette pour trouver des personnalités bisexuelles. Angelina Jolie. Frida Kahlo. Megan Fox. Lady Gaga. Mais aussi Marlon Brando, James Dean, David Bowie...Et Marguerite Yourcenar? Greta Garbo? Bref, si on se penche sur la question on trouve une foule de personnages publics qui ont, ou ont eu, comme le dit Woody Allen, «deux fois plus de chance le samedi soir».

 

Si la pulsion sexuelle se laisse ainsi orienter uniquement par la culture et l’environnement, alors c’est que nous naissons bisexuels. Au fil du temps et de la puberté, les goûts s’affirment, le carcan social et familial fait son œuvre et chacun définit plus ou moins consciemment son orientation sexuelle. Alors sans doute emprunte-t-on un chemin parallèle à celui qui nous ferait apprécier l’autre sexe. Parce qu’il faut choisir, parce qu’on nous enjoint à définir qui l’on est, parce qu’il faut être l’un ou l’autre, du lard ou de la cochonne, pour avoir une case où s’insérer dans la société et ne déstabiliser personne. Peut-être aussi ne pas soulever l’idée qu’on puisse passer de l’un à l’autre sexe sans forcément se poser, et ainsi saper tous les fondements d’une société monogame par nécessité (économique et juridique). Le monde des possibles qui s’ouvre lorsqu’on ne choisit pas de réduire les possibilités à l’un ou l’autre sexe est parfois effrayant.

Et quand on a de la chance, parfois s’ouvre une petite porte sur le côté, une brèche dans le mur de nos convictions, on découvre qu’il y a deux chemins et qu’il est possible de passer de l’un à l’autre. Et quand on reporte sa pulsion sexuelle sur l’objet du désir, que l’on arrête son choix amoureux sur la personne qui nous semble être celle la plus complémentaire, peu importe qu’elle soit de l’un ou de l’autre sexe. Puisqu’aujourd’hui la finalité du couple n’est plus uniquement la procréation (coucou les ennemis du mariage pour tous!) mais avant tout la recherche du bonheur.

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
P
Donc si on 'ne nait pas hétéro on le devient" alors tout cela est valable également pour les personnes gay,soit ; "on ne nait pas homosexuel on le devient"! Donc tout comme quelqu'un "deviendrait hétéro", donc une personne homo deviendrait homosexuel"? Nous savons tous que c'est faux,ne serait-ce par respect pour la lutte des gays!<br /> Donc OUI il y a des personnes hétérosexuel et OUI il y a des personne Homosexuel. Et cela n'a rien à voir avec "la société qui vous formate".<br /> Y a t-il plus de bi que l'on ne croit? CERTAINEMENT! Mais affirmer que l'hétérosexualité est une"construction sociétale relève de la bêtise la plus profonde.
Répondre
U
En 2015, on espère ne pas trouver sous ce genre de réflexion (qui est personnelle) des commentaires comme ceux là. Et bien non. Tout de suite les grands mots: Pédophilie, théorie du genre, désaxée, nature, procréation, et évidemment, pour se protéger, annoncer d'ors et déjà qu'on les traitera d'homophobe (faute avouée à moitié pardonnée?). Ça doit être tellement chouette d'être tranquillement assis sur cette petite sécurité hétérosexuelle qui a eu l'honneur de ne pas être atteint de ""tares" accumulées (de nos générations postérieures), ou bien par vices tout simplement" en autoproclamant sa normalité et son droit d'exister, parce que:<br /> <br /> "chacun représente des principes opposés qui s'attirent et se complètent parfaitement. L'un n'a plus de raison d’être sans l'autre."<br /> <br /> Et bien désolée mais, sans les hommes et en aimant des femmes, j'ai encore une raison d'être.<br /> <br /> "Nous naissons tous hétéro, et la société nous pousse à ne plus l'être. Pas tout le monde heureusement". <br /> C'est vrai que notre société véhicule depuis des siècles une image très positive de l'homosexualité et ne privilégie l'hétérosexualité. Je propose de revoir vos méthodes de conditionnement, à croire que le rabâchement, harcèlement, humiliation, dédain, déni, manipulation, traitements, violence, et autres méthodes destructrices ne sont pas suffisantes pour nous guérir de nos tares... Mais vous avez raison, heureusement qu'il existe des sociétés où on nous pousse à être hétérosexuel. Vous vous sentiriez d'ailleurs parfaitement chez vous dans un pays tel que l'Ouganda, qui partage vos valeurs hautement naturelles et humaines.<br /> <br /> "En poussant un peu plus le bouchon, pour allumer une ampoule il nous faut une borne positive et une borne négative, mettez les plus ou les moins ensemble ça ne donnera absolument rien".<br /> Vous comparez le fonctionnement humain (attirance sexuel et sentiment amoureux de surcroit) à des ampoules, là, et vous dites que vous poussez votre analyse, si j'ai bien compris? D'accord d'accord, mais, si la nature nous permet de faire une conclusion sans faille, à quoi nous sert le clitoris si nous n'étions faites que pour la pénétration vaginale à but de procréer? Est-ce une malformation génitale? J'aimerais, s'il vous plait, obtenir toutes ses réponses de la part d'un aussi, il me semble, éminent scientifique que vous. <br /> Pour "pousser le bouchon un peu plus loin", vous faites des comparaisons bien douteuses, et, au delà d'une comparaison très romantique qui est propre à vos idéologies, qui ne sont en plus valables que pour un fonctionnement particulier (la reproduction), et qui n'est pas du tout représentative de ce qui fait qu'un Homme est en vie et a une raison d'être. Et puisqu'on parle de loi naturelle, intéressez vous à l'interdépendance entre les choses au delà de votre individualisme.<br /> <br /> ".l'homme aime bien chercher tous les "justificatifs" possibles pour se dire ? Ou protéger autrui lorsque autrui est dans l'erreur ? afin d'assouvir sa propre satisfaction personnelle".<br /> Vous parlez bien de vous, là, non? Ou j'ai mal compris. Enfin, à ma connaissance, les homosexuels et bisexuels n'ont jamais cherché à emm***** la vie des hétéros et ne les ont jamais empêché d'exister. C'est vrai que c'est complètement égoïste de vouloir vivre juste librement, sans empiéter sur la vie de personne, et de droit, en plus. Non mais oh.<br /> <br /> "Par conséquent, à part générer des orgasmes entrent homo, nous naissons hétéro à la base...."<br /> Je propose que l'on retire immédiatement le droit aux hétérosexuels de pouvoir obtenir des orgasmes, pour ne leur laisser que ce pourquoi ils sont fait, de base, telle que la nature l'a voulu: la fonction de reproducteur. Merci de nous laisser entièrement l'exclusivité des plaisirs sexuels. Cordialement.<br /> <br /> "C'est comme l'avocat qui défend le criminel ! (l'avocat sait qu'il défend le criminel ! mais bon...on va essayer de l'acquitter pour sa propre image personnelle d'avocat)."<br /> Des criminels hein... Là, en l’occurrence, les homosexuels sont dans leur droit, reconnu, et défendent un droit, reconnu. Donc, on pourrait considérer (si vous habitez en France ou les quelques autres (plus de) vingtaines d'autres pays et états où l'homosexualité est considérée comme normal, cela va sans dire), que le criminel, c'est vous. Tiens, vous feriez un bon avocat...<br /> <br /> "Afin que chacun puisse être ce qu'il est vraiment sans influence sociologique,sociétale et autres influences pernicieuses qui nous empêchent de savoir si nous sommes plutôt fille ou garçon".<br /> Affirmez vous que, sans éducation, nous ne saurions pas si nous étions une fille ou un garçon?<br /> <br /> "par des gens qui veulent nous faire perdre tous nos repères, toutes nos valeurs même sexuelle"<br /> Donc, notre sexualité dépend de nos valeurs? Quelle chouette idée. <br /> <br /> "afin de nous faire devenir des humains d'un genre nouveau..."<br /> Si le genre nouveau consiste à être plus tolérant, ouvert d'esprit, et laisser les personnes s'exprimer telles qu'elles sont dans une liberté qui leur permette de se sentir mieux dans leur peau et dans leur vie, pour effacer les souffrances quotidiennes qu'ils vivent actuellement, j'adhère totalement!<br /> <br /> "Du genre qui ne réfléchit pas beaucoup, qui veut profiter de tout, tout de suite et qui sont des parfaits consommateurs jouisseurs. Il faut,je pense,réfléchir plus loin que le bout de son nez."<br /> Mettre en lumière des questionnements philosophiques, anthropologies, scientifiques, psychologiques, idéologies, éthiques, physiologiques etc... certes, ça donne des gens qui ne réfléchissent pas beaucoup. Faudrait-il donc, pour réfléchir mieux, se poser moins de question et faire comme si de rien n'était en fermant les yeux sur ce qu'il se passe et en protégeant uniquement sa petite personne qui se sent bien uniquement lorsqu'elle n'est pas bousculée dans sa petite sécurité ? Savez vous combien de réflexions tournent autour du genre, de l'homosexualité, la bisexualité, et combien tournent autour de l'hétérosexualité en comparaison? Je suis bien d'accord avec vous: Il faut, je pense, aller plus loin que le bout de son nez.<br /> <br /> Par ailleurs, l'article ici ne parle pas d'homosexualité, ni de genre, mais de bisexualité. Mais évidemment, il n'y a qu'une chose qui vous dérange dans la bisexualité, et c'est le fait de pouvoir aussi aimer les personnes de son sexe, sinon, la personne serait à peu près acceptable et légitime. Mais on vous rassure: On ne peut pas forcer un hétérosexuel à être attiré par des personnes de même sexe, pas plus qu'on ne peut forcer une personne homosexuelle à être attirées par des personnes de sexe opposé. C'est beau la nature, non? Comme vous semblez le dire, il ne faudrait pas aller à son encontre ;).
Répondre
T
L'orientation sexuelle est entièrement une question de culture, oui. Nous naissons tous hétéro, et la société nous pousse à ne plus l’être. Pas tout le monde heureusement.<br /> <br /> Autant de débats alors que la réponse est sous les yeux de chacun, dans la nature... <br /> Pour créer, il faut un principe mâle et un principe femelle , rien d'autre.<br /> <br /> En poussant un peu plus le bouchon, pour allumer une ampoule il nous faut une borne positive et une borne négative, mettez les plus ou les moins ensemble ça ne donnera absolument rien.<br /> <br /> Encore plus flagrant avec des aimant pole Nord et pole Sud... Nord et sud s'attirent, Nord-Nord ou Sud Sud se repoussent...<br /> <br /> Positif, négatif, Nord, Sud, mâle, Femelle ce ne sont que des termes que l'on a attribué mais c'est finalement la même chose, chacun représente des principes opposés qui s'attirent et se complètent parfaitement. L'un n'a plus de raison d’être sans l'autre.
Répondre
.
Ouf les commentaires sont rassurants<br /> <br /> Tout ce texte n'est que du verbiage bien ficelé pour désaxer les gens, rien de plus
Répondre
Y
Article de manipulation...d'un point de vu "naturel" les espèces pérennisent....il faut un mâle et une femelle pour engendrer la vie.<br /> <br /> 2 femelles ou 2 mâles ensemble ne produisent rien.....Si ce n'est que se donner du plaisir ! mais n'engendrent rien d'un point de vu naturel.<br /> <br /> Par conséquent, à part générer des orgasmes entrent homo, nous naissons hétéro à la base....On devient homo par "tares" accumulées (de nos générations postérieures), ou bien par vices tout simplement.....<br /> <br /> Mais bon.....l'homme aime bien chercher tous les "justificatifs" possibles pour se dire ? Ou protéger autrui lorsque autrui est dans l'erreur ? afin d'assouvir sa propre satisfaction personnelle.<br /> <br /> C'est comme l'avocat qui défend le criminel ! (l'avocat sait qu'il défend le criminel ! mais bon...on va essayer de l'acquitter pour sa propre image personnelle d'avocat).<br /> <br /> L'homme part en cacahuète.....
Répondre
T
C'est quoi cette article? De la merde en barquette! merci Claude, Laurence....il reste encore quelques personnes qui raisonnent.
Répondre
L
Donc le gouvernement a bien raison de faire rentrer la théorie du genre dans les écoles,collèges,...<br /> Afin que chacun puisse être ce qu'il est vraiment sans influence sociologique,sociétale et autres influences pernicieuses qui nous empêchent de savoir si nous sommes plutôt fille ou garçon. Tout un programme vraiment!!!! Ce genre de théorie, même si elle était fondée, est en ce moment distillée à petite dose dans nos médias,nos écoles, par des gens qui veulent nous faire perdre tous nos repères, toutes nos valeurs même sexuelle afin de nous faire devenir des humains d'un genre nouveau... Du genre qui ne réfléchit pas beaucoup, qui veut profiter de tout, tout de suite et qui sont des parfaits consommateurs jouisseurs. Il faut,je pense,réfléchir plus loin que le bout de son nez. Dans un monde où le bien commun serait notre but de vie, je serais très intéressée par cet article mais dans le monde actuel cela me fait peur de le trouver sur ce blog...
Répondre
L
Claude, tu as tout à fait raison. Referme ton parapluie pour quelques instants, je t'envoie une pluie de remerciement pour avoir réussi à formuler ce que je pensais sans oser rentrer dans le vif du sujet comme tu l'as fait.
C
"A petites doses..." ,pas tant que ça...! Mais attention, thème très délicat. Les gayprideurs sont à l'affut. Difficile d'emettre un avis, une critique sans e^tre taxé d'homophobe. Il n'y a guère que l'antisémitisme, me^me en spécifiant anti-sionisme, qui met le feu aux poudres autant que ça. Le lobby gay pourrait-il e^tre manipulé pour banaliser la pédophilie?<br /> Le petit héros français étudiant de la "révolution culturelle" de 68, qui siège au parlement européen fait l'éloge de la pédophilie et est un des tenants de la nouvelle loi européenne sur l'enseignement de la sexualité dans les écoles, ne fait pas mystère de ses penchants et cautionne les attouchements entre enseignants et enfants dans les écoles, vécus personnellement lorsqu'il "enseignait" dans les crèches naturels selon lui.<br /> <br /> Parmi les centaines de milliers de personnes "disparues" chaque année en Europe, il y a des milliers d'enfants, dont une partie, est-il à craindre, finissent dans des lieux obscurs, abusés, massacrés par des pédophiles oligarques séniles et satanistes. qui sont les vrais mandataires de la "théorie des genres" et instigateurs d'une banalisation de la loi afin de se prémunir légalement contre les conséquences de leurs agissements indéfendables.<br /> Pour tous les enfants victimes de cette clique de malades, je ne puis me taire et ouvre donc mon parapluie dans l'attente d'une pluie d'injures pour avoir osé exprimer un point de vue. Pour le reste, homme -femme et toutes les variantes possible, cela importe peu. Ce qui compte serait pluto^t la sincérité de 'Amour qui unit les personnes, adultes et consentantes cependant.
C
"..., la Grèce antique. La pédérastie y était une coutume sociale ancrée dans les mœurs. Il était d’usage que les (garçons) adolescents aient des relations sexuelles avec des hommes plus âgés, qui les initiaient. Ces relations cessaient lorsque les premiers poils apparaissaient chez le jeune homme."<br /> <br /> - Les premiers poils apparaissent à l'adolescence, lorsqu'ils n'en on pas encore il s'agit d'enfants prépubères, pas de "jeune homme"! Que la pédophilie ait été tolérée dans la Grèce antique, ne justifie pas sa pratique aujourd'hui.
Répondre

Nous sommes sociaux !

Articles récents