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Détroit: une ville fantôme de 78000 bâtiments

Publié par David Jarry - Webmaster sur 6 Novembre 2014, 16:03pm

Catégories : #Partage

Détroit: une ville fantôme de 78000 bâtiments

Détroit, le temps s’est arrêté

Depuis juillet 2013, Détroit est déclarée en faillite. Plus de 78000 bâtiments sont à l’abandon… Deux photographes français ont réalisé une série de clichés artistiques de la ville. Les voici. Sans commentaire.

Toutes les images qui suivent appartiennent exclusivement à Yves Marchand & Romain Meffre Photography.

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* BONUS *

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Lorsque l’on pense au mot « Ruine », on pense à des bâtiments ayant plusieurs centaines d’années ou de villes oubliées par les générations d’aujourd’hui. Cependant, lorsque l’on mentionne le mot ruine, on peut également penser à des villes bien connues qui ont souffert grandement des différentes crises économiques. Les photographes français Yves Marchand et Romain Meffre ont capté des images très artistiques et saisissantes du déclin de la ville américaine de Détroit et des ruines de celle-ci. En décembre 2010, ils ont publié un livre nommé : « The Ruins of Detroit » (Ruines de Détroit), dans lequel sont rassemblées différentes photographies artistiques d’édifices délabrés et qui semblent s’être figés dans le temps.

 Lire l’article sur marevueweb.com

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É
Quelles photos si impressionnant! Merci beaucoup pour le partage :)
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R
Bien dit Cowa, l'argent est devenu la nouvelle religion, ses adeptes sont légions, notre civilisation touche à sa fin, la nouvelle humanité prendra naissance lorsque l'empire économique disparaitra pour de bon, en attendant, le déclin est en cours...
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C
Il n'y aurait donc plus rien à faire pour tous ces bâtiments et toutes ces terres ? C'est comme pour la crise de 1929, plus d'argent on ferme tout, on arrête les usines et on laisse tout pour s'installer dans la misère et la précarité (comme n'importe quel indigène dépossédé de ses terres). Quelle tristesse de ne vivre qu'à travers l'argent. En dehors de cela, point de salut... Notre système social est beaucoup trop dépendant de la finance et de la notion de propriété. Sans économie, on ne sait plus comment vivre ensemble ni subvenir à ses besoins. On aura beau garder nos bras et nos jambes, nous sommes déconnectés de la terre nourricière meurtrie et abandonnée.
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